Le patriarche maronite, Béchara Raï, a une fois de plus déploré l’ouverture, par le Hezbollah, du front sud avec Israël, en insistant sur le fait que la décision de guerre et de paix revenait à l’État, seulement.
Dans son homélie dominicale, beaucoup plus axée sur la religion que la politique, Mgr Raï a insisté sur le fait que «la force des hommes se trouve dans l’amour et la compassion et non dans les armes».
Il a ensuite souligné que «la paix ne peut pas être instaurée si la décision de guerre et de paix se trouve entre les mains d’une personne, d’un parti ou d’un groupe de citoyens». «C’est une décision qui revient à l’État, dans un dernier recours, après avoir pris en compte les pertes humaines, matérielles, financières et le sort des citoyens qui en découleraient. La décision d’entrer en guerre est une responsabilité considérable avec des conséquences graves», a-t-il prévenu, pour critiquer ainsi, sans la nommer, la guerre dans laquelle le Hezbollah a entraîné le Liban, rien que pour appliquer un agenda iranien.
Dans son homélie dominicale, beaucoup plus axée sur la religion que la politique, Mgr Raï a insisté sur le fait que «la force des hommes se trouve dans l’amour et la compassion et non dans les armes».
Il a ensuite souligné que «la paix ne peut pas être instaurée si la décision de guerre et de paix se trouve entre les mains d’une personne, d’un parti ou d’un groupe de citoyens». «C’est une décision qui revient à l’État, dans un dernier recours, après avoir pris en compte les pertes humaines, matérielles, financières et le sort des citoyens qui en découleraient. La décision d’entrer en guerre est une responsabilité considérable avec des conséquences graves», a-t-il prévenu, pour critiquer ainsi, sans la nommer, la guerre dans laquelle le Hezbollah a entraîné le Liban, rien que pour appliquer un agenda iranien.
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