À la veille de la fête du Fitr, marquant la fin du mois de jeûne du Ramadan, le mufti de la République, cheikh Abdel Latif Deriane, a implicitement salué les initiatives et propositions de certaines parties politiques, dont celle du bloc de «La Modération», en faveur de l’élection d’un président de la République après plus d’un an et demi de vacance à la tête de l’État.
«Les efforts positifs de consultation et de proposition de certaines factions politiques suscitent l'espoir et l'optimisme quant à la possibilité pour les Libanais d'élire un président et de surmonter la crise», a souligné le mufti de la République dans un message envoyé lundi de la Mecque aux musulmans en particulier, et aux Libanais en général, à l'occasion de la fête du Fitr.
Il a toutefois exhorté les parties «à déployer plus d’efforts en ce sens», tout en déplorant le fait que «le retard de l'élection présidentielle soit devenu un fardeau aussi bien pour le pays que pour les citoyens».
Dans ce contexte, il a également assuré que «l'élection d’un président est le pilier principal pour remettre le Liban sur la bonne voie», exhortant les différentes parties «à éviter les provocations et à œuvrer, conformément à leur devoir, en vue de l'élection d'un président inclusif qui respecte et mette en œuvre la Constitution de manière professionnelle, tout en honorant l'accord de Taëf, afin de libérer le Liban et les Libanais de la souffrance qu'ils endurent actuellement».
Il a, en outre, qualifié la situation au Liban «de difficile depuis des années et pas seulement en raison de la guerre de Gaza», appelant «les dirigeants à œuvrer en priorité en faveur de la prospérité du pays, en mettant en place les réformes attendues».
Par ailleurs, le mufti de la République a dénoncé «la grande détresse des Palestiniens ainsi que celle des Libanais, mise en lumière devant le monde entier pendant le mois de Ramadan avec le lancement de l'opération Déluge d'Al-Aqsa, faisant de la question de la Palestine une préoccupation mondiale pour les consciences des peuples libres du monde et de ses institutions». Il a ainsi appelé à «une solution juste qui respecte les droits nationaux de notre peuple en Palestine et mette fin à l'occupation sioniste brutale et à ses massacres, d'une laideur et d'une violence jamais égalées dans l'histoire».
Il a appelé Dieu «à faire preuve de miséricorde envers les martyrs vertueux, de guérir rapidement les blessés et de secourir les affamés, les torturés et les endeuillés à Gaza et dans le reste de la Palestine».
Enfin, le mufti Deriane s'est excusé de ne pas pouvoir recevoir les félicitations à l'occasion de la fête du Fitr et a annoncé avoir chargé le secrétaire général de Dar el-Fatwa, cheikh Amin Kurdi, d'accomplir la prière et le sermon de la fête à la mosquée Khatam al-Anbiya, dans le centre de Beyrouth, à 7 heures du matin le jour de la fête du-Fitr.
«Les efforts positifs de consultation et de proposition de certaines factions politiques suscitent l'espoir et l'optimisme quant à la possibilité pour les Libanais d'élire un président et de surmonter la crise», a souligné le mufti de la République dans un message envoyé lundi de la Mecque aux musulmans en particulier, et aux Libanais en général, à l'occasion de la fête du Fitr.
Il a toutefois exhorté les parties «à déployer plus d’efforts en ce sens», tout en déplorant le fait que «le retard de l'élection présidentielle soit devenu un fardeau aussi bien pour le pays que pour les citoyens».
Dans ce contexte, il a également assuré que «l'élection d’un président est le pilier principal pour remettre le Liban sur la bonne voie», exhortant les différentes parties «à éviter les provocations et à œuvrer, conformément à leur devoir, en vue de l'élection d'un président inclusif qui respecte et mette en œuvre la Constitution de manière professionnelle, tout en honorant l'accord de Taëf, afin de libérer le Liban et les Libanais de la souffrance qu'ils endurent actuellement».
Il a, en outre, qualifié la situation au Liban «de difficile depuis des années et pas seulement en raison de la guerre de Gaza», appelant «les dirigeants à œuvrer en priorité en faveur de la prospérité du pays, en mettant en place les réformes attendues».
Par ailleurs, le mufti de la République a dénoncé «la grande détresse des Palestiniens ainsi que celle des Libanais, mise en lumière devant le monde entier pendant le mois de Ramadan avec le lancement de l'opération Déluge d'Al-Aqsa, faisant de la question de la Palestine une préoccupation mondiale pour les consciences des peuples libres du monde et de ses institutions». Il a ainsi appelé à «une solution juste qui respecte les droits nationaux de notre peuple en Palestine et mette fin à l'occupation sioniste brutale et à ses massacres, d'une laideur et d'une violence jamais égalées dans l'histoire».
Il a appelé Dieu «à faire preuve de miséricorde envers les martyrs vertueux, de guérir rapidement les blessés et de secourir les affamés, les torturés et les endeuillés à Gaza et dans le reste de la Palestine».
Enfin, le mufti Deriane s'est excusé de ne pas pouvoir recevoir les félicitations à l'occasion de la fête du Fitr et a annoncé avoir chargé le secrétaire général de Dar el-Fatwa, cheikh Amin Kurdi, d'accomplir la prière et le sermon de la fête à la mosquée Khatam al-Anbiya, dans le centre de Beyrouth, à 7 heures du matin le jour de la fête du-Fitr.
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