Au terme d’un entretien, samedi, avec le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï à Bkerké, le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a annoncé que des contacts sont menés par son gouvernement avec la communauté internationale, afin de trouver un règlement au dossier de la présence syrienne massive au Liban.
Il a expliqué qu'une solution réside dans un retour des Syriens installés dans le pays vers les régions considérées sûres en Syrie.
M. Mikati a de nouveau condamné le meurtre du coordinateur des Forces libanaises pour Jbeil, Pascal Sleiman, qui a été enlevé et tué dimanche par des personnes de nationalité syrienne, lors d’une présumée opération de vol de sa voiture.
Il a, dans le même temps, lancé un appel à la retenue et à la cohésion nationale, jugeant nécessaire de «tirer les leçons du 13 avril» 1975, date du début de la guerre au Liban.
Rappelons que le Premier ministre sortant avait annoncé qu’il planchait sur un projet de règlement de la présence syrienne massive au Liban, et que celui-ci sera annoncé fin avril.
M. Mikati a insisté sur le fait qu’«aucune partie libanaise ne peut marquer une victoire au détriment d’une autre», et que l’État libanais «représente la planche de salut pour tous». Aussi a-t-il de nouveau lancé un appel pour l’élection d’un président, «qui sera suivie de la formation d’un gouvernement, pour lancer le chantier de réformes».
Il a expliqué qu'une solution réside dans un retour des Syriens installés dans le pays vers les régions considérées sûres en Syrie.
M. Mikati a de nouveau condamné le meurtre du coordinateur des Forces libanaises pour Jbeil, Pascal Sleiman, qui a été enlevé et tué dimanche par des personnes de nationalité syrienne, lors d’une présumée opération de vol de sa voiture.
Il a, dans le même temps, lancé un appel à la retenue et à la cohésion nationale, jugeant nécessaire de «tirer les leçons du 13 avril» 1975, date du début de la guerre au Liban.
Rappelons que le Premier ministre sortant avait annoncé qu’il planchait sur un projet de règlement de la présence syrienne massive au Liban, et que celui-ci sera annoncé fin avril.
M. Mikati a insisté sur le fait qu’«aucune partie libanaise ne peut marquer une victoire au détriment d’une autre», et que l’État libanais «représente la planche de salut pour tous». Aussi a-t-il de nouveau lancé un appel pour l’élection d’un président, «qui sera suivie de la formation d’un gouvernement, pour lancer le chantier de réformes».
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