Le ministre sortant de l’Environnement, Nasser Yassin, a rappelé, mercredi, les mesures que son ministère avait prises pour limiter la pollution dans la capitale et qui consistent notamment à «doter les générateurs de filtres puissants et d’imposer aux propriétaires des grands et moyens générateurs de munir ceux-ci de systèmes susceptibles de traiter instantanément la fumée des échappements».
M. Yassin a rappelé ces directives au lendemain d’un article publié lundi dans The Guardian, selon lequel le risque de développer un cancer a augmenté de 30% à Beyrouth. En cause: le recours massif, depuis le début de la crise au Liban en 2019, aux générateurs pour produire l’électricité. L’article fait référence à une étude menée par une équipe de l’Université américaine de Beyrouth, sous la direction de Najat Aoun Saliba, députée et spécialiste en chimie atmosphérique. Celle-ci devrait être rendue publique prochainement.
Selon les résultats de cette étude, rapportée dans The Guardian, le taux des particules fines ou PM2,5 (particules dont le diamètre est inférieur à 2,5 microns) a atteint les 60 microgrammes par mètre cube dans la zone de Makassed, ayant été incluse dans l’étude. Un taux quatre fois supérieur à celui fixé par l’Organisation mondiale de la santé (15 microgrammes par mètre cube).
«Certains mohafez, notamment à Beyrouth, ont généralisé ces recommandations», a précisé M. Yassin dans un communiqué. Il a souligné que le ministère organise, dans ce cadre, «des ateliers de travail avec les responsables concernés aux ministères de l’Énergie et de l’Intérieur et avec les procureurs généraux pour une meilleure application».
M. Yassin a également rappelé, qu’en «février 2022, il avait publié une décision (16/1), basée sur les nouvelles données de l’époque, pour réduire les émissions dans les secteurs de l’industrie et de l’énergie, y compris les générateurs». Ce plan, a-t-il souligné, «devait être appliqué en deux phases, à partir de février 2023, sur base des recommandations et critères internationaux». «Le ministère œuvre également à réhabiliter progressivement les stations de surveillance de l’atmosphère, dont l’activité a été interrompue en 2019», a noté M. Yassin. Et d’indiquer que «dans le cadre du budget 2024, des exonérations douanières et des réductions sur les taxes sont prévues sur les voitures électriques et hybrides, en vue de réduire la pollution atmosphérique».
M. Yassin a rappelé ces directives au lendemain d’un article publié lundi dans The Guardian, selon lequel le risque de développer un cancer a augmenté de 30% à Beyrouth. En cause: le recours massif, depuis le début de la crise au Liban en 2019, aux générateurs pour produire l’électricité. L’article fait référence à une étude menée par une équipe de l’Université américaine de Beyrouth, sous la direction de Najat Aoun Saliba, députée et spécialiste en chimie atmosphérique. Celle-ci devrait être rendue publique prochainement.
Selon les résultats de cette étude, rapportée dans The Guardian, le taux des particules fines ou PM2,5 (particules dont le diamètre est inférieur à 2,5 microns) a atteint les 60 microgrammes par mètre cube dans la zone de Makassed, ayant été incluse dans l’étude. Un taux quatre fois supérieur à celui fixé par l’Organisation mondiale de la santé (15 microgrammes par mètre cube).
«Certains mohafez, notamment à Beyrouth, ont généralisé ces recommandations», a précisé M. Yassin dans un communiqué. Il a souligné que le ministère organise, dans ce cadre, «des ateliers de travail avec les responsables concernés aux ministères de l’Énergie et de l’Intérieur et avec les procureurs généraux pour une meilleure application».
M. Yassin a également rappelé, qu’en «février 2022, il avait publié une décision (16/1), basée sur les nouvelles données de l’époque, pour réduire les émissions dans les secteurs de l’industrie et de l’énergie, y compris les générateurs». Ce plan, a-t-il souligné, «devait être appliqué en deux phases, à partir de février 2023, sur base des recommandations et critères internationaux». «Le ministère œuvre également à réhabiliter progressivement les stations de surveillance de l’atmosphère, dont l’activité a été interrompue en 2019», a noté M. Yassin. Et d’indiquer que «dans le cadre du budget 2024, des exonérations douanières et des réductions sur les taxes sont prévues sur les voitures électriques et hybrides, en vue de réduire la pollution atmosphérique».
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