©(Handout/Ukrainian presidential press-service/AFP)
La Russie a émis un avis de recherche contre le président ukrainien Volodymyr Zelensky, sans rendre public son motif, selon une notice visible samedi sur le site du ministère de l'Intérieur.
Le dirigeant est recherché «en vertu d'un article du code pénal», lit-on dans ce court texte, qui ne donne aucun détail sur la nature de ces accusations.
La Russie mène, depuis février 2022, une invasion contre l'Ukraine, qu'elle présente notamment comme un combat contre un pouvoir «nazi».
Volodymyr Zelensky est particulièrement pris pour cible par les responsables russes. Au lendemain du lancement de son assaut, le président Vladimir Poutine, lui-même visé par un mandat de la Cour pénale internationale (CPI) depuis mars 2023, avait appelé l'armée ukrainienne à le renverser.
La liste des personnes recherchées par la Russie est très fournie et comprend des personnalités russes ou étrangères, notamment ukrainiennes.
En février, le nom de la Première ministre estonienne Kaja Kallas avait été ajouté à cette liste en même temps que ceux d'autres responsables des pays baltes.
Le Kremlin avait invoqué, pour justifier cette décision, la vision opposée de l'Histoire entre Moscou et ces Etats.
Les Etats baltes, craignant les ambitions militaires du Kremlin, considèrent que l'URSS les a occupés, tandis que Moscou se voit comme un libérateur et qualifie toute autre approche comme une «falsification de l'Histoire», un crime en Russie.
Avec AFP
Le dirigeant est recherché «en vertu d'un article du code pénal», lit-on dans ce court texte, qui ne donne aucun détail sur la nature de ces accusations.
La Russie mène, depuis février 2022, une invasion contre l'Ukraine, qu'elle présente notamment comme un combat contre un pouvoir «nazi».
Volodymyr Zelensky est particulièrement pris pour cible par les responsables russes. Au lendemain du lancement de son assaut, le président Vladimir Poutine, lui-même visé par un mandat de la Cour pénale internationale (CPI) depuis mars 2023, avait appelé l'armée ukrainienne à le renverser.
La liste des personnes recherchées par la Russie est très fournie et comprend des personnalités russes ou étrangères, notamment ukrainiennes.
En février, le nom de la Première ministre estonienne Kaja Kallas avait été ajouté à cette liste en même temps que ceux d'autres responsables des pays baltes.
Le Kremlin avait invoqué, pour justifier cette décision, la vision opposée de l'Histoire entre Moscou et ces Etats.
Les Etats baltes, craignant les ambitions militaires du Kremlin, considèrent que l'URSS les a occupés, tandis que Moscou se voit comme un libérateur et qualifie toute autre approche comme une «falsification de l'Histoire», un crime en Russie.
Avec AFP
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