Le directeur par intérim de la Sûreté générale, le général Élias Baissari, a confié qu'il était en train de plancher sur «une étude complète portant sur le dossier des déplacés syriens» présents sur le sol libanais. Cette dernière devrait être «présentée» et soumise aux discussions «lors de la conférence de Bruxelles qui se tiendra le mois prochain».
M. Baissari a également révélé vendredi, lors d'un entretien accordé au quotidien Al-Joumhouria, que ce plan en gestation «devrait aussi ouvrir la voie à l'expulsion d'un certain nombre de prisonniers syriens détenus dans les geôles libanaises», et ce, «en coordination avec le ministre de la Justice et la Cour de cassation, et sous la supervision du ministre de l'Intérieur».
Il a également révélé qu'un amendement était en cours de préparation par les services de la direction générale de la Sûreté générale afin de renforcer les conditions de résidence pour les Syriens résidant au Liban. «Tout Syrien qui enfreindrait les conditions de résidence et les lois libanaises en vigueur sera soumis à des peines judiciaires sévères.»
Le général Baissari a mis en garde ces derniers, ajoutant que «les contrevenants seront passibles d’être immédiatement expulsés du territoire en cas de violation des conditions en vigueur».
Concernant la date de sa visite en Syrie, M. Baissari a insisté sur la nécessité «de convenir à l'avance d'un calendrier approprié entre les États syrien et libanais afin de préparer le terrain et entamer ainsi des négociations sur la possibilité d'expulser les prisonniers».
Le responsable a par ailleurs insisté sur «l'importance d'un climat politique apaisé pour parvenir à un accord politique», tout en appelant «au respect des traités internationaux qui préservent les droits des humains».
À cet égard, M. Baissari a exhorté les deux parties à respecter le traité conclu entre le Liban et la Syrie, tout en reconnaissant que «les accords entre les États peuvent être sujets à des modifications, car ils ne sont pas absolus».
M. Baissari a également révélé vendredi, lors d'un entretien accordé au quotidien Al-Joumhouria, que ce plan en gestation «devrait aussi ouvrir la voie à l'expulsion d'un certain nombre de prisonniers syriens détenus dans les geôles libanaises», et ce, «en coordination avec le ministre de la Justice et la Cour de cassation, et sous la supervision du ministre de l'Intérieur».
Il a également révélé qu'un amendement était en cours de préparation par les services de la direction générale de la Sûreté générale afin de renforcer les conditions de résidence pour les Syriens résidant au Liban. «Tout Syrien qui enfreindrait les conditions de résidence et les lois libanaises en vigueur sera soumis à des peines judiciaires sévères.»
Le général Baissari a mis en garde ces derniers, ajoutant que «les contrevenants seront passibles d’être immédiatement expulsés du territoire en cas de violation des conditions en vigueur».
Concernant la date de sa visite en Syrie, M. Baissari a insisté sur la nécessité «de convenir à l'avance d'un calendrier approprié entre les États syrien et libanais afin de préparer le terrain et entamer ainsi des négociations sur la possibilité d'expulser les prisonniers».
Le responsable a par ailleurs insisté sur «l'importance d'un climat politique apaisé pour parvenir à un accord politique», tout en appelant «au respect des traités internationaux qui préservent les droits des humains».
À cet égard, M. Baissari a exhorté les deux parties à respecter le traité conclu entre le Liban et la Syrie, tout en reconnaissant que «les accords entre les États peuvent être sujets à des modifications, car ils ne sont pas absolus».
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