©(Handout / National Police of Ukraine / AFP)
La Russie a lancé vendredi une offensive terrestre dans la région de Kharkiv (nord-est) et tenté de "percer les lignes de défense" ukrainiennes, a annoncé le ministère de la Défense ukrainien, affirmant que les combats se poursuivaient.
"Au cours de la dernière journée, l'ennemi a effectué des frappes aérienne dans le secteur de Vovtchansk", frontalier de la région russe de Belgorod, avec des bombes aériennes guidées, a indiqué le ministère.
Des évacuations de civils ont été ordonnées dans cette zone, a précisé un responsable local.
"Vers 05H00 du matin, l'ennemi a tenté de percer nos lignes de défense à l'aide de véhicules blindés", a ajouté cette même source, sans clarifier la localisation exacte de cette attaque.
Le ministère a assuré que ces attaques avaient été "repoussées" mais que des "combats de diverses intensités" se poursuivaient et que des "unités de réserve" avaient été déployées pour "renforcer la défense" de la zone.
Les forces de Moscou "se sont enfoncées d'un kilomètre dans le territoire ukrainien" et essaient d'avancer jusqu'à "dix kilomètres", a déclaré vendredi une source haut placée dans le commandement militaire ukrainien.
La Russie cherche à créer une "zone tampon" pour empêcher l'Ukraine de frapper la région russe de Belgorod, très régulièrement ciblée, a-t-elle ajouté.
"La ville (de Vovtchansk) est actuellement sous des bombardements massifs. Les résidents n'avaient pas vu de telles frappes auparavant", a-t-il affirmé au média ukrainien Hromadske Radio.
Selon lui, les tirs se sont intensifiés depuis 03H00 du matin dans cette cité qui compte 3.000 habitants.
L'armée ukrainienne est à la peine sur le front, affaiblie par un manque de recrues et les retards de livraison d'aide occidentale, qui ont notamment vidé ses stocks de munitions.
En face, les forces russes ont revendiqué des gains territoriaux limités, principalement dans l'est, au prix de lourdes pertes humaines mais sans toutefois réussir de véritable percée.
Les troupes russes ont fait en particulier des avancées dans le secteur d'Avdiïvka, ville-forteresse de la région de Donetsk conquise mi-février.
Avec AFP
"Au cours de la dernière journée, l'ennemi a effectué des frappes aérienne dans le secteur de Vovtchansk", frontalier de la région russe de Belgorod, avec des bombes aériennes guidées, a indiqué le ministère.
Des évacuations de civils ont été ordonnées dans cette zone, a précisé un responsable local.
"Vers 05H00 du matin, l'ennemi a tenté de percer nos lignes de défense à l'aide de véhicules blindés", a ajouté cette même source, sans clarifier la localisation exacte de cette attaque.
Le ministère a assuré que ces attaques avaient été "repoussées" mais que des "combats de diverses intensités" se poursuivaient et que des "unités de réserve" avaient été déployées pour "renforcer la défense" de la zone.
Les forces de Moscou "se sont enfoncées d'un kilomètre dans le territoire ukrainien" et essaient d'avancer jusqu'à "dix kilomètres", a déclaré vendredi une source haut placée dans le commandement militaire ukrainien.
La Russie cherche à créer une "zone tampon" pour empêcher l'Ukraine de frapper la région russe de Belgorod, très régulièrement ciblée, a-t-elle ajouté.
"La ville (de Vovtchansk) est actuellement sous des bombardements massifs. Les résidents n'avaient pas vu de telles frappes auparavant", a-t-il affirmé au média ukrainien Hromadske Radio.
Selon lui, les tirs se sont intensifiés depuis 03H00 du matin dans cette cité qui compte 3.000 habitants.
L'armée ukrainienne est à la peine sur le front, affaiblie par un manque de recrues et les retards de livraison d'aide occidentale, qui ont notamment vidé ses stocks de munitions.
En face, les forces russes ont revendiqué des gains territoriaux limités, principalement dans l'est, au prix de lourdes pertes humaines mais sans toutefois réussir de véritable percée.
Les troupes russes ont fait en particulier des avancées dans le secteur d'Avdiïvka, ville-forteresse de la région de Donetsk conquise mi-février.
Avec AFP
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