La direction de la Sûreté générale a commencé, mardi, à organiser le retour volontaire de près de 330 migrants syriens présents au Liban via les passages de Zamarani-Arsal et Qaa. Ces migrants s’étaient enregistrés auprès des centres de la Sûreté générale pour faciliter leur retour dans leur pays.
Cette initiative, marquée par la reprise des voyages de retour volontaire en Syrie, constitue le début essentiel d’un processus continu et durable visant à permettre aux Syriens présents au Liban – qu’ils y soient légalement ou illégalement installés – de retourner dans leur pays. Dans le même temps, «la direction de la Sûreté générale veille à assurer leur retour en toute sécurité», selon l’officier responsable du suivi de ce processus à Ersal.
Interrogés sur leur départ volontaire, la plupart des Syriens se disent satisfaits de cette initiative, remerciant la Sûreté générale pour avoir pris en charge leur retour dans leur patrie en toute sécurité.
Une femme en partance, s’exprimant à l’Agence nationale d’information, a encouragé les Syriens restés au Liban à rentrer en Syrie. Parallèlement, certains Syriens en partance, bénéficiant de l’assistance du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) au Liban, ont demandé le versement de cette aide dans leur pays, considérant qu’ils en ont besoin pour améliorer leur vie là-bas. Cela encouragerait également tous les Syriens à envisager un retour dans leur patrie.
Le général Elias Baissari, directeur général par intérim de la Sûreté générale et actuellement en Égypte, a supervisé, avec les officiers de la Sûreté générale à Ersal et Qaa, le déroulement des convois de retour volontaire entrepris ce matin par la direction. Environ 330 Syriens désireux de retourner dans leur pays sous la protection de la Sûreté générale étaient concernés.
Le général Baissari déclare, dans un entretien accordé à l’Agence nationale d’information, que «ce convoi marque le début d’une nouvelle étape nécessitant une prise en charge officielle, un suivi et une communication avec les autorités syriennes et le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés afin d’assurer une mise en œuvre efficace et de faire progresser ce dossier vers une solution définitive».
Le voyage de retour depuis Wadi Hamid à Ersal a débuté à sept heures du matin en direction du passage de Zamarani à la frontière libano-syrienne. Les Syriens ont emporté avec eux leurs véhicules civils, leurs tracteurs agricoles et leur bétail dans des voitures et des camions loués à Ersal.
Le convoi volontaire à partir de Arsal comprenait 214 Syriens. Ils étaient accompagnés de deux patrouilles de la Sûreté nationale et du service de renseignement de la Sûreté générale. Le retour est organisé en coordination avec la Sûreté syrienne, chargée de la protection du convoi à l’intérieur du territoire syrien, en direction des villages de Qalamoun, de la région de Rif Damas et de Damas.
Cette initiative, marquée par la reprise des voyages de retour volontaire en Syrie, constitue le début essentiel d’un processus continu et durable visant à permettre aux Syriens présents au Liban – qu’ils y soient légalement ou illégalement installés – de retourner dans leur pays. Dans le même temps, «la direction de la Sûreté générale veille à assurer leur retour en toute sécurité», selon l’officier responsable du suivi de ce processus à Ersal.
Interrogés sur leur départ volontaire, la plupart des Syriens se disent satisfaits de cette initiative, remerciant la Sûreté générale pour avoir pris en charge leur retour dans leur patrie en toute sécurité.
Une femme en partance, s’exprimant à l’Agence nationale d’information, a encouragé les Syriens restés au Liban à rentrer en Syrie. Parallèlement, certains Syriens en partance, bénéficiant de l’assistance du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) au Liban, ont demandé le versement de cette aide dans leur pays, considérant qu’ils en ont besoin pour améliorer leur vie là-bas. Cela encouragerait également tous les Syriens à envisager un retour dans leur patrie.
Le général Elias Baissari, directeur général par intérim de la Sûreté générale et actuellement en Égypte, a supervisé, avec les officiers de la Sûreté générale à Ersal et Qaa, le déroulement des convois de retour volontaire entrepris ce matin par la direction. Environ 330 Syriens désireux de retourner dans leur pays sous la protection de la Sûreté générale étaient concernés.
Le général Baissari déclare, dans un entretien accordé à l’Agence nationale d’information, que «ce convoi marque le début d’une nouvelle étape nécessitant une prise en charge officielle, un suivi et une communication avec les autorités syriennes et le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés afin d’assurer une mise en œuvre efficace et de faire progresser ce dossier vers une solution définitive».
Le voyage de retour depuis Wadi Hamid à Ersal a débuté à sept heures du matin en direction du passage de Zamarani à la frontière libano-syrienne. Les Syriens ont emporté avec eux leurs véhicules civils, leurs tracteurs agricoles et leur bétail dans des voitures et des camions loués à Ersal.
Le convoi volontaire à partir de Arsal comprenait 214 Syriens. Ils étaient accompagnés de deux patrouilles de la Sûreté nationale et du service de renseignement de la Sûreté générale. Le retour est organisé en coordination avec la Sûreté syrienne, chargée de la protection du convoi à l’intérieur du territoire syrien, en direction des villages de Qalamoun, de la région de Rif Damas et de Damas.
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