©Emma Stone
Crédit photo: Loic Venance / AFP
Le Festival de Cannes a offert aujourd'hui, vendredi 17 mai, une journée remarquable, riche en émotions et en découvertes cinématographiques, qui a marqué l'audience.
La Croisette, vibrante dès l'aube, a accueilli cinéastes, acteurs et cinéphiles venus célébrer le septième art dans toute sa splendeur.
La compétition officielle a vu la projection de Three Kilometres to the End of the World d'Emanuel Pârvu et de Kinds of Kindness de Yorgos Lanthimos, tous deux accueillis avec enthousiasme par les spectateurs du Grand théâtre Lumière.
En dehors de la compétition, la journée a été animée par des projections spéciales, telles que An Unfinished Film de Lou Ye, présentées dans des salles combles. D'autres films notables, incluant Bird d'Andrea Arnold et The Damned de Roberto Minervini, ont été projetés respectivement à «Un Certain regard» et «Cannes Première».
Les débuts ont également été soulignés avec des premières œuvres comme Le Royaume de Julien Colonna et Vingt Dieux de Louise Courvoisier, reflétant la diversité et la richesse du cinéma contemporain exploré au festival.
La réception des films a été généralement positive, avec des critiques louant la variété et la qualité des œuvres présentées, témoignant de la vitalité du festival comme plateforme de premier plan pour le cinéma international.
Le festival a aussi connu des retours de stars incontournables. Ainsi, celui de Kevin Costner, vingt ans plus tard, venu présenter son western, Horizon, An American Saga, et qui a exprimé sa fierté et sa gratitude à l'égard du festival pour avoir inclus dans la sélection de cette année ce projet qui lui tient à cœur depuis 35 ans, soulignant l'importance de Cannes comme lieu de révélation mondiale pour son film. Ou celui de Richard Gere, vedette du film Oh, Canada. Ou encore celui de Demi Moore pour le film d’horreur The Substance, en compétition.
Lors d'une discussion sur le biopicThe Apprentice, qui retrace l'ascension de Donald Trump, l'acteur Sebastian Stan a évoqué le défi d'interpréter un personnage aussi complexe et clivant, soulignant l'intensité du processus de transformation pour ce rôle.
«Il y a tellement de gens à observer ici, ça me servira pour de prochains rôles», a attesté par ailleurs Sawyer Spielberg, fils du réalisateur d'E.T. et acteur, qui vit son premier Festival de Cannes, avec un film présenté à la Quinzaine des cinéastes.
Ces moments ont captivé l'audience et souligné l'importance du festival comme plateforme pour des œuvres significatives.
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