L’Institut français du Liban organise la 2ᵉ édition du Grand week-end du cinéma français, en partenariat avec le Festival du film francophone d’Angoulême, du 30 mai au 2 juin 2024.
Après le succès de sa première édition, en mars 2022, qui avait attiré plus de 1.800 spectateurs au cinéma Montaigne, l’Institut français du Liban renouvelle l’expérience du Grand week-end du cinéma français. Cet événement, qui se déroulera du 30 mai au 2 juin 2024, est organisé en partenariat avec le prestigieux Festival du film francophone d’Angoulême.
La programmation de cette 2ᵉ édition comprend 5 films issus de la sélection 2023 du Festival d’Angoulême, qui seront présentés lors de 10 projections au cinéma Montaigne, la salle numérisée de l’Institut français. Les cinéphiles libanais auront ainsi l’opportunité de découvrir en avant-première des œuvres inédites et de grande qualité.
Parmi les films sélectionnés, on retrouve Première affaire de Victoria Musiedlak, un drame mettant en scène une jeune avocate confrontée à la cruauté du monde qui l’entoure lors de sa première affaire pénale. Le film sera projeté le jeudi 30 mai en ouverture du festival, en présence de la réalisatrice et de l’actrice principale, Noée Abita.
Rien à perdre de Delphine Deloget, avec Virginie Efira, racontera quant à lui le combat d’une mère pour récupérer son fils placé en foyer par les services sociaux. Ce drame sera projeté le vendredi 31 mai et le samedi 1ᵉʳ juin.
La comédie dramatique La vie de ma mère, de Julien Carpentier, avec Agnès Jaoui et William Lebghil, explorera les retrouvailles explosives entre une mère fantasque et son fils, tandis que Toni, en famille de Nathan Ambrosioni, avec Camille Cottin, s’intéressera au destin d’une mère de famille nombreuse qui s’interroge sur sa vie alors que ses enfants quittent peu à peu le foyer.
Enfin, Le Temps d’aimer de Katell Quillévéré, premier prix du Festival d’Angoulême 2023, clôturera le Grand week-end, le dimanche 2 juin. Ce drame, avec Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste, suivra le destin de Madeleine, une serveuse qui tente de fuir son passé en suivant François, un étudiant riche et cultivé.
En parallèle des projections, l’Institut français du Liban organisera des temps forts, comme la cérémonie d’ouverture, le jeudi 30 mai, avec la projection de Première affaire en présence de l’équipe du film, et la clôture, le dimanche 2 juin, avec Le Temps d’aimer.
Une délégation française sera présente pour accompagner les films et échanger avec le public libanais. On retrouvera notamment les réalisatrices Victoria Musiedlak et Delphine Deloget, l’actrice Noée Abita, mais aussi des professionnels reconnus du cinéma français comme Dominique Besnehard, créateur du Festival d’Angoulême, et Mathieu Fournet, conseiller spécial auprès du CNC.
Le Grand week-end du cinéma français s’impose comme un rendez-vous incontournable pour les amoureux du 7ᵉ art au Liban. En proposant une sélection de films français inédits et de qualité, cet événement contribue à renforcer les liens culturels entre la France et le Liban, tout en offrant au public l’opportunité de découvrir le meilleur du cinéma francophone contemporain.
Les projections auront lieu au cinéma Montaigne de l’Institut français du Liban et l'entrée sera libre dans la limite des places disponibles. Nul doute que les cinéphiles libanais seront au rendez-vous pour profiter de cette programmation exceptionnelle et des échanges avec les équipes des films présentes à Beyrouth pour l’occasion.
Après le succès de sa première édition, en mars 2022, qui avait attiré plus de 1.800 spectateurs au cinéma Montaigne, l’Institut français du Liban renouvelle l’expérience du Grand week-end du cinéma français. Cet événement, qui se déroulera du 30 mai au 2 juin 2024, est organisé en partenariat avec le prestigieux Festival du film francophone d’Angoulême.
La programmation de cette 2ᵉ édition comprend 5 films issus de la sélection 2023 du Festival d’Angoulême, qui seront présentés lors de 10 projections au cinéma Montaigne, la salle numérisée de l’Institut français. Les cinéphiles libanais auront ainsi l’opportunité de découvrir en avant-première des œuvres inédites et de grande qualité.
Parmi les films sélectionnés, on retrouve Première affaire de Victoria Musiedlak, un drame mettant en scène une jeune avocate confrontée à la cruauté du monde qui l’entoure lors de sa première affaire pénale. Le film sera projeté le jeudi 30 mai en ouverture du festival, en présence de la réalisatrice et de l’actrice principale, Noée Abita.
Rien à perdre de Delphine Deloget, avec Virginie Efira, racontera quant à lui le combat d’une mère pour récupérer son fils placé en foyer par les services sociaux. Ce drame sera projeté le vendredi 31 mai et le samedi 1ᵉʳ juin.
La comédie dramatique La vie de ma mère, de Julien Carpentier, avec Agnès Jaoui et William Lebghil, explorera les retrouvailles explosives entre une mère fantasque et son fils, tandis que Toni, en famille de Nathan Ambrosioni, avec Camille Cottin, s’intéressera au destin d’une mère de famille nombreuse qui s’interroge sur sa vie alors que ses enfants quittent peu à peu le foyer.
Enfin, Le Temps d’aimer de Katell Quillévéré, premier prix du Festival d’Angoulême 2023, clôturera le Grand week-end, le dimanche 2 juin. Ce drame, avec Anaïs Demoustier et Vincent Lacoste, suivra le destin de Madeleine, une serveuse qui tente de fuir son passé en suivant François, un étudiant riche et cultivé.
En parallèle des projections, l’Institut français du Liban organisera des temps forts, comme la cérémonie d’ouverture, le jeudi 30 mai, avec la projection de Première affaire en présence de l’équipe du film, et la clôture, le dimanche 2 juin, avec Le Temps d’aimer.
Une délégation française sera présente pour accompagner les films et échanger avec le public libanais. On retrouvera notamment les réalisatrices Victoria Musiedlak et Delphine Deloget, l’actrice Noée Abita, mais aussi des professionnels reconnus du cinéma français comme Dominique Besnehard, créateur du Festival d’Angoulême, et Mathieu Fournet, conseiller spécial auprès du CNC.
Le Grand week-end du cinéma français s’impose comme un rendez-vous incontournable pour les amoureux du 7ᵉ art au Liban. En proposant une sélection de films français inédits et de qualité, cet événement contribue à renforcer les liens culturels entre la France et le Liban, tout en offrant au public l’opportunité de découvrir le meilleur du cinéma francophone contemporain.
Les projections auront lieu au cinéma Montaigne de l’Institut français du Liban et l'entrée sera libre dans la limite des places disponibles. Nul doute que les cinéphiles libanais seront au rendez-vous pour profiter de cette programmation exceptionnelle et des échanges avec les équipes des films présentes à Beyrouth pour l’occasion.
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