Les présidents de la Fédération des syndicats des boulangeries du Liban, Nasser Srour, et de la Confédération générale des travailleurs libanais (CGTL), Béchara Asmar, ont tenu une conférence de presse conjointe, mardi, au cours de laquelle ils ont évoqué la levée potentielle de la subvention sur le pain et le problème de la main d'œuvre syrienne.
M. Srour a indiqué que la fin de la subvention de la rabta de pain entraînera inévitablement une augmentation du prix de celle-ci, surtout que les prix des produits qui entrent dans la composition du pain ont considérablement augmenté, selon lui. Il a cité le sucre, le nylon et autres. Il a rappelé que «c’est l’État qui fixe les prix et non pas les boulangeries» et s'est interrogé sur le point de savoir si les autorités maintiendront la subvention.
Pour sa part, M. Asmar a appelé l'État à «s'efforcer d'obtenir un prêt pour continuer à subventionner le pain et de maintenir un dialogue constructif avec la Fédération des syndicats de boulangerie et la CGTL pour stabiliser la sécurité alimentaire dans le pays».
Concernant les travailleurs syriens, M. Srour a souligné «l'importance» de leur présence dans le secteur des boulangeries. Il a noté que la crise au Liban a conduit au départ d'une grande partie des travailleurs libanais et à l'afflux de travailleurs syriens dans le secteur, avant d'affirmer avoir mené une série de contacts avec la Sûreté générale à leur sujet.
Il a appelé «les Libanais, en particulier ceux qui ont de l'expérience, à postuler pour travailler dans les boulangeries».
M. Srour a indiqué que la fin de la subvention de la rabta de pain entraînera inévitablement une augmentation du prix de celle-ci, surtout que les prix des produits qui entrent dans la composition du pain ont considérablement augmenté, selon lui. Il a cité le sucre, le nylon et autres. Il a rappelé que «c’est l’État qui fixe les prix et non pas les boulangeries» et s'est interrogé sur le point de savoir si les autorités maintiendront la subvention.
Pour sa part, M. Asmar a appelé l'État à «s'efforcer d'obtenir un prêt pour continuer à subventionner le pain et de maintenir un dialogue constructif avec la Fédération des syndicats de boulangerie et la CGTL pour stabiliser la sécurité alimentaire dans le pays».
Concernant les travailleurs syriens, M. Srour a souligné «l'importance» de leur présence dans le secteur des boulangeries. Il a noté que la crise au Liban a conduit au départ d'une grande partie des travailleurs libanais et à l'afflux de travailleurs syriens dans le secteur, avant d'affirmer avoir mené une série de contacts avec la Sûreté générale à leur sujet.
Il a appelé «les Libanais, en particulier ceux qui ont de l'expérience, à postuler pour travailler dans les boulangeries».
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