Le bloc de la République forte (Forces libanaises, FL) a appelé, mercredi, le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, à contrôler les activités des associations locales et internationales, qui œuvrent à «financer la présence des réfugiés syriens au Liban, en vue de leur maintien permanent dans le pays».
Lors d’une réunion tenue au siège du ministère, une délégation du bloc a remis à M. Maoulaoui un mémorandum qui traite des conséquences désastreuses de la présence syrienne illégale au Liban.
Dans ce cadre, les FL ont appelé le ministre sortant à prendre des mesures strictes pour mettre fin aux pratiques de ces associations (citées dans le mémorandum) qui «imposent aux municipalités leurs politiques au détriment de l’intérêt du Liban, de son peuple, de sa sécurité et de sa stabilité».
Au terme de la rencontre, la députée Ghada Ayoub a rappelé que «les associations et les municipalités sont soumises à l’autorité et à la supervision du ministre de l’Intérieur, notamment en ce qui concerne la présence illégale de Syriens».
«Le ministre a le pouvoir de contrôler le travail des associations autorisées à œuvrer en territoire libanais et de garantir que leurs activités soient conformes aux lois en vigueur dans le pays, a-t-elle expliqué. Il a donc toute autorité pour superviser leurs budgets et leurs comptes, qu’elles sont censées soumettre au ministère au cours du premier mois de chaque année.»
Mme Ayoub a ajouté que M. Maoulaoui s’est engagé à «publier des circulaires et à donner des instructions aux Forces de sécurité intérieure et à la Sûreté générale pour prendre les mesures nécessaires à l’égard des associations» contrevenantes. Selon elle, le ministre s’est dit disposé à «soumettre une proposition au Conseil des ministres pour retirer les autorisations» qui leur ont été accordées.
Lors d’une réunion tenue au siège du ministère, une délégation du bloc a remis à M. Maoulaoui un mémorandum qui traite des conséquences désastreuses de la présence syrienne illégale au Liban.
Dans ce cadre, les FL ont appelé le ministre sortant à prendre des mesures strictes pour mettre fin aux pratiques de ces associations (citées dans le mémorandum) qui «imposent aux municipalités leurs politiques au détriment de l’intérêt du Liban, de son peuple, de sa sécurité et de sa stabilité».
Au terme de la rencontre, la députée Ghada Ayoub a rappelé que «les associations et les municipalités sont soumises à l’autorité et à la supervision du ministre de l’Intérieur, notamment en ce qui concerne la présence illégale de Syriens».
«Le ministre a le pouvoir de contrôler le travail des associations autorisées à œuvrer en territoire libanais et de garantir que leurs activités soient conformes aux lois en vigueur dans le pays, a-t-elle expliqué. Il a donc toute autorité pour superviser leurs budgets et leurs comptes, qu’elles sont censées soumettre au ministère au cours du premier mois de chaque année.»
Mme Ayoub a ajouté que M. Maoulaoui s’est engagé à «publier des circulaires et à donner des instructions aux Forces de sécurité intérieure et à la Sûreté générale pour prendre les mesures nécessaires à l’égard des associations» contrevenantes. Selon elle, le ministre s’est dit disposé à «soumettre une proposition au Conseil des ministres pour retirer les autorisations» qui leur ont été accordées.
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