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- Premières conclusions iraniennes sur l'accident de Raïssi
©(AZIN HAGHIGHI / MOJ News Agency / AFP)
L'état-major iranien a publié un communiqué jeudi, présentant les premières conclusions de l'enquête sur le crash de l'hélicoptère du président Ebrahim Raïssi, dimanche dernier.
Aucun élément suspect n'a été détecté dans les échanges entre l'équipage de l'hélicoptère et la tour de contrôle, précise notamment le communiqué publié par le centre de relations publiques de l'état-major iranien. Selon ce texte, l'hélicoptère de Raïssi, tué dans le crash, avec son ministre des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, et sept autres personnes, a poursuivi sa trajectoire planifiée et ne s'en est pas écarté.
Aucune trace de balle n'a été non plus trouvée sur la coque de l'hélicoptère, ajoute le communiqué.
La dernière communication entre l'hélicoptère présidentiel et les deux autres appareils qui l'escortaient remonte à une minute et demie avant l'accident, toujours selon le rapport.
Les autorités iraniennes ont annoncé qu'elles poursuivaient la collecte d'une grande partie des documents et des traces liés à l'accident de l'hélicoptère. "Nous avons besoin de plus de temps", précise le communiqué.
Aucun élément suspect n'a été détecté dans les échanges entre l'équipage de l'hélicoptère et la tour de contrôle, précise notamment le communiqué publié par le centre de relations publiques de l'état-major iranien. Selon ce texte, l'hélicoptère de Raïssi, tué dans le crash, avec son ministre des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, et sept autres personnes, a poursuivi sa trajectoire planifiée et ne s'en est pas écarté.
Aucune trace de balle n'a été non plus trouvée sur la coque de l'hélicoptère, ajoute le communiqué.
La dernière communication entre l'hélicoptère présidentiel et les deux autres appareils qui l'escortaient remonte à une minute et demie avant l'accident, toujours selon le rapport.
Les autorités iraniennes ont annoncé qu'elles poursuivaient la collecte d'une grande partie des documents et des traces liés à l'accident de l'hélicoptère. "Nous avons besoin de plus de temps", précise le communiqué.
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