©Capture d’écran d'une vidéo tirée de la page de l'USJ
Le président du réseau des entreprises familiales (FBN Family Business Network), Ricardo Hosri, a mis en relief, dans un communiqué, la vulnérabilité des entreprises familiales au Liban au vu des circonstances actuelles, avertissant que «leur situation est tragique et leur pérennité est difficile à cause de la guerre à Gaza qui a débordé au Liban-Sud et de la crise financière qui dure depuis cinq ans». «La résilience est considérée comme le plus grand défi auquel sont confrontées les entreprises familiales», a-t-il affirmé.
Selon lui, «les décisions, les lois et l'environnement de travail sont des facteurs qui ne favorisent pas leur croissance, en plus d'un système fiscal qui complique leur situation».
M. Hosri a précisé que ces entreprises se sentent d'autant plus lésées «qu'elles sont organisées, enregistrées suivant les règles et parmi les plus engagées dans le secteur privé légitime en termes de paiement des cotisations à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), des impôts et des droits de douane».
Il a souligné que «l'aide apportée par les organisations internationales, comme la Banque mondiale, au secteur privé et aux entreprises familiales, se heurte à une demande de garanties, comme le prévoit la loi libanaise. Cette dernière ne protège cependant pas ces organisations au cas où elles n'arriveraient pas à recouvrer les prêts accordés à des entreprises. De ce fait, ces organisations, en échange de l'octroi de crédits aux entreprises familiales, demandent des garanties strictes en dehors du Liban, ce qui constitue un défi pour les investissements familiaux».
Selon lui, «les décisions, les lois et l'environnement de travail sont des facteurs qui ne favorisent pas leur croissance, en plus d'un système fiscal qui complique leur situation».
M. Hosri a précisé que ces entreprises se sentent d'autant plus lésées «qu'elles sont organisées, enregistrées suivant les règles et parmi les plus engagées dans le secteur privé légitime en termes de paiement des cotisations à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), des impôts et des droits de douane».
Il a souligné que «l'aide apportée par les organisations internationales, comme la Banque mondiale, au secteur privé et aux entreprises familiales, se heurte à une demande de garanties, comme le prévoit la loi libanaise. Cette dernière ne protège cependant pas ces organisations au cas où elles n'arriveraient pas à recouvrer les prêts accordés à des entreprises. De ce fait, ces organisations, en échange de l'octroi de crédits aux entreprises familiales, demandent des garanties strictes en dehors du Liban, ce qui constitue un défi pour les investissements familiaux».
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