La nouvelle coordinatrice spéciale des Nations unies pour le Liban, Jeanine Hennis-Plasschaert, a appelé le Hezbollah et Israël à «s'engager à nouveau dans la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité, afin d'assurer leur sécurité mutuelle durable».
Dans un communiqué publié lundi à l’issue de son premier entretien avec le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, elle a affirmé qu’elle compte «travailler, dans les mois à venir, en étroite collaboration avec les deux parties en vue de l’application de la 1701». Elle a également assuré vouloir établir une collaboration «avec la Finul et d'autres partenaires libanais et internationaux, en vue de focaliser les efforts dans ce sens».
Mme Hennis-Plasschaert a en outre souligné qu’elle a discuté avec Abdallah Bou Habib de «l'urgence pour les belligérants de mettre fin au conflit militaire» frontalier, qualifiant la situation à la frontière sud de «particulièrement préoccupante».
Toujours selon le communiqué, la discussion a également porté sur «l'impasse politique prolongée dans laquelle se trouve le Liban et la nécessité d'élire un nouveau président, pour que les institutions publiques se remettent à fonctionner, afin de sortir le pays de la crise et l'engager sur la voie d'un redressement durable».
Cette visite marque le début d’une première série de consultations que Mme Hennis-Plasschaert projette d’entreprendre auprès des responsables libanais.
Dans un communiqué publié lundi à l’issue de son premier entretien avec le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, elle a affirmé qu’elle compte «travailler, dans les mois à venir, en étroite collaboration avec les deux parties en vue de l’application de la 1701». Elle a également assuré vouloir établir une collaboration «avec la Finul et d'autres partenaires libanais et internationaux, en vue de focaliser les efforts dans ce sens».
Mme Hennis-Plasschaert a en outre souligné qu’elle a discuté avec Abdallah Bou Habib de «l'urgence pour les belligérants de mettre fin au conflit militaire» frontalier, qualifiant la situation à la frontière sud de «particulièrement préoccupante».
Toujours selon le communiqué, la discussion a également porté sur «l'impasse politique prolongée dans laquelle se trouve le Liban et la nécessité d'élire un nouveau président, pour que les institutions publiques se remettent à fonctionner, afin de sortir le pays de la crise et l'engager sur la voie d'un redressement durable».
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