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- Un conseiller militaire iranien tué lors d'une frappe israélienne en Syrie
©Les Gardiens de la révolution islamiques paradent aux côtés d'un missile lors de la "Journée de Jérusalem", à Téhéran, en avril 2022. (AFP)
Un conseiller militaire iranien avait été tué dans la nuit de dimanche à lundi par une frappe israélienne menée dimanche dan sl anuit contre Alep, en Syrie. «Au cours de l’attaque du régime sioniste sur Alep la nuit dernière, Saeed Abyar, l’un des conseillers du corps des Gardiens de la révolution (CGRI) en Syrie, est mort en martyre», a déclaré l’agence de presse iranienne Tasnim.
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), basée au Royaume-Uni, mais qui dispose d’un vaste réseau de sources dans le pays en guerre, la frappe a visé une usine tenue par des groupes pro-iraniens «provoquant de fortes explosions». «Seize personnes, des Syriens et des étrangers, ont été tuées», a ajouté l’ONG, sans préciser s’ils étaient tous des combattants. L’OSDH avait donné un premier bilan de 12 morts dans la nuit.
Le ministère syrien de la Défense avait annoncé dans un communiqué qu’«après minuit (...), l’ennemi israélien avait lancé une attaque aérienne (...) ciblant certaines positions à proximité d’Alep». Il avait ajouté que «l’agression a fait plusieurs martyrs et des dégâts matériels», sans autres précisions.
Selon l’OSDH, secouristes et pompiers se sont précipités sur les lieux pour éteindre les incendies qui s’étaient déclenchés et transporter les blessés. L’ONG a ajouté que la localité visée de Hayyan était «contrôlée par des groupes pro-iraniens composés de Syriens et d’étrangers».
Depuis le début de la guerre civile en Syrie en 2011, Israël y a mené des centaines de frappes visant l’armée du régime de Bachar Assad et les groupes pro-iraniens qui y sont implantés et le soutiennent. Fervent allié du président Assad, Téhéran y dispose de «conseillers militaires».
Avec AFP
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), basée au Royaume-Uni, mais qui dispose d’un vaste réseau de sources dans le pays en guerre, la frappe a visé une usine tenue par des groupes pro-iraniens «provoquant de fortes explosions». «Seize personnes, des Syriens et des étrangers, ont été tuées», a ajouté l’ONG, sans préciser s’ils étaient tous des combattants. L’OSDH avait donné un premier bilan de 12 morts dans la nuit.
Le ministère syrien de la Défense avait annoncé dans un communiqué qu’«après minuit (...), l’ennemi israélien avait lancé une attaque aérienne (...) ciblant certaines positions à proximité d’Alep». Il avait ajouté que «l’agression a fait plusieurs martyrs et des dégâts matériels», sans autres précisions.
Selon l’OSDH, secouristes et pompiers se sont précipités sur les lieux pour éteindre les incendies qui s’étaient déclenchés et transporter les blessés. L’ONG a ajouté que la localité visée de Hayyan était «contrôlée par des groupes pro-iraniens composés de Syriens et d’étrangers».
Depuis le début de la guerre civile en Syrie en 2011, Israël y a mené des centaines de frappes visant l’armée du régime de Bachar Assad et les groupes pro-iraniens qui y sont implantés et le soutiennent. Fervent allié du président Assad, Téhéran y dispose de «conseillers militaires».
Avec AFP
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