Les deux blocs parlementaires du PSP et de la Modération nationale se sont entendus sur une feuille de route commune pour débloquer la présidentielle, au cours de leur réunion, mercredi. Cette démarche s'inscrit dans le cadre de l'initiative lancée par le parti présidé par Teymour Joumblatt, avec le même objectif en vue.
Bilal Abdallah, député du Chouf et membre du groupe parlementaire du PSP, a déclaré à l’issue de sa rencontre qu’une «feuille de route a été élaborée, de sorte que les parties prenantes ne placent plus la barre (de leurs exigences) très haut».
Ayant précisé tenir le même discours que celui du bloc de la Modération nationale, M. Abdallah a souligné l’importance que «les prises de position soient unifiées sur le plan national afin de sortir de l’impasse présidentielle».
D’après lui, «un consensus est impératif». «Ce qui importe est que le Liban sorte victorieux de cette crise», a-t-il ajouté, en référence au blocage de la présidentielle depuis octobre 2020, avec la fin du mandat de l’ancien président Michel Aoun.
M. Abdallah a ensuite souligné que «le dossier de la présidentielle ne doit pas être lié à la guerre à Gaza».
Il convient de rappeler que le PSP a entamé mardi sa tournée auprès des responsables politiques libanais dans le cadre de son initiative visant à dégager un éventuel consensus qui favoriserait l’élection d’un nouveau chef de l’État.
Ses députés ont tenu un premier round de consultations avec les chefs des Forces libanaises, Samir Geagea, du CPL, Gebran Bassil, ainsi qu’avec Hussein Khalil, l’adjoint politique du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah.
Bilal Abdallah, député du Chouf et membre du groupe parlementaire du PSP, a déclaré à l’issue de sa rencontre qu’une «feuille de route a été élaborée, de sorte que les parties prenantes ne placent plus la barre (de leurs exigences) très haut».
Ayant précisé tenir le même discours que celui du bloc de la Modération nationale, M. Abdallah a souligné l’importance que «les prises de position soient unifiées sur le plan national afin de sortir de l’impasse présidentielle».
D’après lui, «un consensus est impératif». «Ce qui importe est que le Liban sorte victorieux de cette crise», a-t-il ajouté, en référence au blocage de la présidentielle depuis octobre 2020, avec la fin du mandat de l’ancien président Michel Aoun.
M. Abdallah a ensuite souligné que «le dossier de la présidentielle ne doit pas être lié à la guerre à Gaza».
Il convient de rappeler que le PSP a entamé mardi sa tournée auprès des responsables politiques libanais dans le cadre de son initiative visant à dégager un éventuel consensus qui favoriserait l’élection d’un nouveau chef de l’État.
Ses députés ont tenu un premier round de consultations avec les chefs des Forces libanaises, Samir Geagea, du CPL, Gebran Bassil, ainsi qu’avec Hussein Khalil, l’adjoint politique du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah.
Lire aussi
Commentaires