Vingt personnes ont été arrêtées, dont le tireur, dans l’affaire de la fusillade survenue mercredi contre l'ambassade américaine à Awkar, selon une source judiciaire citée par l'Agence France-Presse (AFP), sous couvert d’anonymat.
L'armée libanaise avait indiqué avoir blessé l'assaillant, avant de l'arrêter et de le conduire à l'hôpital. Il s’agit d’un Syrien, Qais Farraj, qui a affirmé agir pour soutenir Gaza, où la guerre fait rage entre le Hamas et Israël depuis le 7 octobre dernier.
Parmi les détenus figurent son père, son frère, des religieux qui lui donnaient des cours, et «les gens avec qui il était en contact en continu», d’après la même source qui supervise les enquêtes menées par les services de renseignement de l'armée libanaise et de la police.
Les enquêteurs tentent de déterminer si ces derniers sont liés au «groupe jihadiste État islamique (EI) ou d'autres organisations terroristes», a-t-on ajouté de même source, mais «les données disponibles jusqu'à présent excluent l'hypothèse d'une opération organisée».
Le soir de l'attaque, le département d'État américain avait déclaré que Washington était «conscient que l'individu qui a été arrêté portait ce qui semblait être l'insigne de l'EI», ajoutant «mener une enquête approfondie avec les autorités libanaises sur les véritables motivations».
L'armée libanaise avait indiqué avoir blessé l'assaillant, avant de l'arrêter et de le conduire à l'hôpital. Il s’agit d’un Syrien, Qais Farraj, qui a affirmé agir pour soutenir Gaza, où la guerre fait rage entre le Hamas et Israël depuis le 7 octobre dernier.
Parmi les détenus figurent son père, son frère, des religieux qui lui donnaient des cours, et «les gens avec qui il était en contact en continu», d’après la même source qui supervise les enquêtes menées par les services de renseignement de l'armée libanaise et de la police.
Les enquêteurs tentent de déterminer si ces derniers sont liés au «groupe jihadiste État islamique (EI) ou d'autres organisations terroristes», a-t-on ajouté de même source, mais «les données disponibles jusqu'à présent excluent l'hypothèse d'une opération organisée».
Le soir de l'attaque, le département d'État américain avait déclaré que Washington était «conscient que l'individu qui a été arrêté portait ce qui semblait être l'insigne de l'EI», ajoutant «mener une enquête approfondie avec les autorités libanaises sur les véritables motivations».
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