Pierre Bou Assi, membre du bloc parlementaire de la République forte (Forces libanaises), a affirmé, mercredi, que son parti n’est pas obstinément opposé au dialogue ou à toute initiative, mais est attaché à la Constitution, qui doit être respectée, refusant de céder au chantage du «Hezbollah».
Lors d’un entretien accordé à la radio russe «Sputnik», le député de Baabda refuse «de remettre en cause la première position chrétienne de la République libanaise et de céder au chantage».
«Pourquoi le président de la Chambre, Nabih Berry, ‘gouverneur de fait’, peut gouverner avec 65 voix, en contournant le règlement intérieur du Parlement, grâce aux armes du Hezbollah, mais pas le président de la République?», s’est-il interrogé.
M. Bou Assi a souligné que «la question de l’échéance présidentielle doit être résolue au Liban conformément aux procédures constitutionnelles et pas à Doha».
Et de conclure: «La décision stratégique ne relève ni du Hezbollah qui est une faction des Gardiens de la révolution iranienne, ni du président Nabih Berry, mais plutôt de l'Iran.»
Lors d’un entretien accordé à la radio russe «Sputnik», le député de Baabda refuse «de remettre en cause la première position chrétienne de la République libanaise et de céder au chantage».
«Pourquoi le président de la Chambre, Nabih Berry, ‘gouverneur de fait’, peut gouverner avec 65 voix, en contournant le règlement intérieur du Parlement, grâce aux armes du Hezbollah, mais pas le président de la République?», s’est-il interrogé.
M. Bou Assi a souligné que «la question de l’échéance présidentielle doit être résolue au Liban conformément aux procédures constitutionnelles et pas à Doha».
Et de conclure: «La décision stratégique ne relève ni du Hezbollah qui est une faction des Gardiens de la révolution iranienne, ni du président Nabih Berry, mais plutôt de l'Iran.»
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