Le député des Forces libanaises (FL) Ziad Hawat a rappelé au président du Parlement, Nabih Berry, que «sa responsabilité nationale exige qu'il convoque une session parlementaire avec des séances consécutives qui ne prendront fin qu'avec l'élection d'un président capable de redonner vie, espoir et confiance au Liban dans son avenir».
C’est ce que M. Hawat a exprimé, vendredi, sur la plateforme X, à l’occasion du 14 juin 2024, un an jour pour jour après la dernière séance parlementaire destinée à élire un président de la République».
M. Hawat a évoqué une période marquée par des violations constitutionnelles, une crise économique dévastatrice, une implication dans un conflit sans intérêt direct et un gouvernement inactif face à une crise existentielle sans précédent.
Pour rappel, le 14 juin 2023 s’est tenue la douzième séance électorale au Liban depuis la fin du mandat de Michel Aoun. Le candidat Jihad Azour, ancien ministre des Finances, était soutenu par l'opposition chrétienne, le Parti socialiste progressiste (PSP) et le Courant patriotique libre (CPL), face à Sleiman Frangié, soutenu par le tandem chiite Amal-Hezbollah. Cependant, la séance s'est achevée sans qu’un président soit élu, avec un message clair du tandem chiite indiquant que leur prochain candidat serait une figure de troisième voie.
C’est ce que M. Hawat a exprimé, vendredi, sur la plateforme X, à l’occasion du 14 juin 2024, un an jour pour jour après la dernière séance parlementaire destinée à élire un président de la République».
M. Hawat a évoqué une période marquée par des violations constitutionnelles, une crise économique dévastatrice, une implication dans un conflit sans intérêt direct et un gouvernement inactif face à une crise existentielle sans précédent.
Pour rappel, le 14 juin 2023 s’est tenue la douzième séance électorale au Liban depuis la fin du mandat de Michel Aoun. Le candidat Jihad Azour, ancien ministre des Finances, était soutenu par l'opposition chrétienne, le Parti socialiste progressiste (PSP) et le Courant patriotique libre (CPL), face à Sleiman Frangié, soutenu par le tandem chiite Amal-Hezbollah. Cependant, la séance s'est achevée sans qu’un président soit élu, avec un message clair du tandem chiite indiquant que leur prochain candidat serait une figure de troisième voie.
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