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Le président français, Emmanuel Macron, et le roi Abdallah II de Jordanie ont souligné lundi, la nécessité de soutenir les efforts visant à rétablir le calme à la frontière entre le Liban et Israël et à soutenir la stabilité au Pays du cèdre.
Lors d'un déjeuner à l'Élysée, ils ont mis en garde contre un «embrasement qui serait catastrophique pour la région» à la frontière sud où les échanges de tirs entre le Hezbollah et Israël sont ininterrompus, et réitéré leurs appels à toutes les parties à «la responsabilité et à la retenue».
M. Macron et le roi Abdallah ont par ailleurs appelé Israël à lever toutes les «restrictions» terrestres à l'acheminement de l'aide humanitaire vers Gaza, a indiqué la présidence française dans un communiqué.
Ils ont redit la «nécessité de mettre en place, sans plus de délai, un cessez-le feu immédiat et durable à Gaza et ont de nouveau appelé à la libération de tous les otages», dont celle de deux Français.
Des bombardements ont visé lundi la bande de Gaza, après l'annonce par le Premier ministre israélien que la phase «intense» des combats touchait à sa fin, notamment à Rafah, dans le sud du territoire palestinien, mais que la guerre contre le Hamas se poursuivrait.
Le mouvement islamiste a répondu que tout accord devait «inclure un cessez-le-feu permanent et un retrait complet» israélien de Gaza, conditions qu'Israël a toujours rejetées.
Emmanuel Macron et Abdallah II ont également «marqué leur profonde préoccupation sur la situation en Cisjordanie et vivement condamné les violences commises par les colons», a précisé l'Élysée.
Les deux dirigeants sont convenus de «poursuivre leur travail conjoint en vue d’une solution durable et crédible à la crise sur la base de la solution à deux États».
«Dans cette perspective, l’Autorité palestinienne devait être soutenue et non pas affaiblie», ont-ils souligné, notant que «toute entrave au transfert de ses revenus ou à son système bancaire était inacceptable».
Ils ont aussi salué les «réformes engagées par le gouvernement palestinien et appelé à les poursuivre et à les approfondir».
Avec AFP
Lors d'un déjeuner à l'Élysée, ils ont mis en garde contre un «embrasement qui serait catastrophique pour la région» à la frontière sud où les échanges de tirs entre le Hezbollah et Israël sont ininterrompus, et réitéré leurs appels à toutes les parties à «la responsabilité et à la retenue».
M. Macron et le roi Abdallah ont par ailleurs appelé Israël à lever toutes les «restrictions» terrestres à l'acheminement de l'aide humanitaire vers Gaza, a indiqué la présidence française dans un communiqué.
Ils ont redit la «nécessité de mettre en place, sans plus de délai, un cessez-le feu immédiat et durable à Gaza et ont de nouveau appelé à la libération de tous les otages», dont celle de deux Français.
Des bombardements ont visé lundi la bande de Gaza, après l'annonce par le Premier ministre israélien que la phase «intense» des combats touchait à sa fin, notamment à Rafah, dans le sud du territoire palestinien, mais que la guerre contre le Hamas se poursuivrait.
Le mouvement islamiste a répondu que tout accord devait «inclure un cessez-le-feu permanent et un retrait complet» israélien de Gaza, conditions qu'Israël a toujours rejetées.
Emmanuel Macron et Abdallah II ont également «marqué leur profonde préoccupation sur la situation en Cisjordanie et vivement condamné les violences commises par les colons», a précisé l'Élysée.
Les deux dirigeants sont convenus de «poursuivre leur travail conjoint en vue d’une solution durable et crédible à la crise sur la base de la solution à deux États».
«Dans cette perspective, l’Autorité palestinienne devait être soutenue et non pas affaiblie», ont-ils souligné, notant que «toute entrave au transfert de ses revenus ou à son système bancaire était inacceptable».
Ils ont aussi salué les «réformes engagées par le gouvernement palestinien et appelé à les poursuivre et à les approfondir».
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