L’investissement en Arabie saoudite à la lumière de la Vision du royaume 2030 était au cœur du forum économique spécialisé organisé, lundi, par la Fédération des conseils des hommes d'affaires libanais du Golfe, en partenariat avec les organismes économiques libanais et en coopération avec le Boston Consulting Group (BCG), au siège de la Chambre de commerce de Beyrouth et du Mont-Liban. Le climat d'investissement en Arabie Saoudite, les opportunités et la manière d'y investir, ainsi que la faisabilité économique et les facilités fournies y ont été présentés.
Y ont notamment participé l'ambassadeur d'Arabie saoudite au Liban, Walid Boukhari, le président des instances économiques, Mohammad Choucair, et le président de la Fédération des conseils des hommes d'affaires libanais du Golfe, Wissam al-Aris.
M. Choucair a révélé la volonté du secteur privé libanais de s'engager davantage dans la réalisation de la Vision 2030 du Royaume, notant que le Liban a toujours eu une longue histoire de coopération, de partenariat et de travail avec l’Arabie.
Il a estimé qu'«avec les grands projets proposés en Arabie saoudite, c'est une belle opportunité qui est présentée au Liban, non seulement de consolider un partenariat économique avec l'Arabie Saoudite, mais d'établir un partenariat économique arabe dans son sens le plus large». Il a souligné qu'il existe de nombreux projets participatifs entre le Liban et le Royaume, ainsi que 22 accords prêts, auxquels ne manque que la signature du président de la République.
Dans ce cadre, M. Choucair a appelé les forces politiques libanaises à élire un président de la République et à former un nouveau gouvernement pour restaurer le respect de l'État dans toutes ses dimensions et fonctions. Cela permettrait au Liban de rétablir ses relations à leur niveau historique et politique avec les pays du Golfe, notamment avec l'Arabie.
De son côté, M. El Ariss a assuré que l'organisation de ce forum soutient les objectifs de la Fédération des conseils des hommes d'affaires libanais du Golfe en développant les relations économiques entre le Liban et le Golfe et en établissant des objectifs clairement définis, notamment: l'augmentation des échanges commerciaux, la commercialisation des produits sur les marchés, l’activation de la coopération industrielle et touristique et l’échange des expériences et des informations. Il a ajouté que c'est pour cette raison que la Fédération a décidé, en partenariat avec les organismes économiques, de travailler à l'activation de l'investissement et au suivi de l'un des piliers de la Vision 2030, à savoir la création de projets d'investissement vastes et variés. Cela représente des opportunités intéressantes pour tous les investisseurs, et une fenêtre pour les hommes d'affaires libanais d'y jouer un rôle.
Il a rappelé que la Vision saoudienne 2030 a posé des bases solides pour un succès constant, car elle considère le secteur privé comme le partenaire stratégique permanent le plus important. Elle a surtout commencé à mettre en œuvre des réformes structurelles radicales portant sur tous les aspects économiques et sociaux, à diversifier l'économie, à soutenir le contenu local et à créer des opportunités de croissance innovantes renforcées par un environnement favorable aux investissements locaux et étrangers. Ces piliers sont animés par une ambition illimitée: amener l'Arabie Saoudite à figurer parmi les 15 plus grandes économies du monde en termes de compétitivité; augmenter la contribution du secteur privé à 65% du produit national brut (PNB); hausser la contribution des secteurs non pétroliers de 50%; enfin relever le facteur d'investissement étranger à 5,7% du produit intérieur brut (PIB).
Il a indiqué que la réalisation de ces objectifs nécessite d'énormes investissements, mais qu'ils offrent aux entreprises arabes et internationales des opportunités réalisables dans un cadre de compétitivité et de transparence conformément aux normes internationales. Il a aussi souligné la nécessité pour les entreprises libanaises de bien se préparer, surtout que les hommes d'affaires libanais sont habitués à l'environnement de travail en Arabie saoudite et entretiennent des relations amicales et fraternelles avec de nombreux Saoudiens.
M. Rafih, le directeur du BCG, a ensuite évoqué les opportunités d'investissement en Arabie. Il a signalé que le Royaume a de grandes ambitions en matière d'investissement, car c'est là l'un des trois piliers fondamentaux de la Vision 2030. Pour y parvenir, il a mis en place un certain nombre de financements, de partenariats et de programmes. Cela dans le but d'encourager et de stimuler les investissements nationaux et étrangers, en plus de créer des zones économiques spéciales, le tout sous la supervision de l'Autorité nationale des investissements. Celle-ci fournit, en guise d'incitation supplémentaire, un impôt sur les bénéfices des sociétés qui ne dépasse pas 5% sur une période de 20 ans, ce qui a favorisé le déplacement des bureaux régionaux d'environ 480 entreprises vers le Royaume.
Il a également présenté un investissement de haut niveau dans le secteur de l'éducation, puisqu’il s'agit désormais de l'une des destinations éducatives les plus importantes du Moyen-Orient, comptant environ 8,3 millions d'étudiants à différents niveaux d'enseignement.
Y ont notamment participé l'ambassadeur d'Arabie saoudite au Liban, Walid Boukhari, le président des instances économiques, Mohammad Choucair, et le président de la Fédération des conseils des hommes d'affaires libanais du Golfe, Wissam al-Aris.
M. Choucair a révélé la volonté du secteur privé libanais de s'engager davantage dans la réalisation de la Vision 2030 du Royaume, notant que le Liban a toujours eu une longue histoire de coopération, de partenariat et de travail avec l’Arabie.
Il a estimé qu'«avec les grands projets proposés en Arabie saoudite, c'est une belle opportunité qui est présentée au Liban, non seulement de consolider un partenariat économique avec l'Arabie Saoudite, mais d'établir un partenariat économique arabe dans son sens le plus large». Il a souligné qu'il existe de nombreux projets participatifs entre le Liban et le Royaume, ainsi que 22 accords prêts, auxquels ne manque que la signature du président de la République.
Dans ce cadre, M. Choucair a appelé les forces politiques libanaises à élire un président de la République et à former un nouveau gouvernement pour restaurer le respect de l'État dans toutes ses dimensions et fonctions. Cela permettrait au Liban de rétablir ses relations à leur niveau historique et politique avec les pays du Golfe, notamment avec l'Arabie.
De son côté, M. El Ariss a assuré que l'organisation de ce forum soutient les objectifs de la Fédération des conseils des hommes d'affaires libanais du Golfe en développant les relations économiques entre le Liban et le Golfe et en établissant des objectifs clairement définis, notamment: l'augmentation des échanges commerciaux, la commercialisation des produits sur les marchés, l’activation de la coopération industrielle et touristique et l’échange des expériences et des informations. Il a ajouté que c'est pour cette raison que la Fédération a décidé, en partenariat avec les organismes économiques, de travailler à l'activation de l'investissement et au suivi de l'un des piliers de la Vision 2030, à savoir la création de projets d'investissement vastes et variés. Cela représente des opportunités intéressantes pour tous les investisseurs, et une fenêtre pour les hommes d'affaires libanais d'y jouer un rôle.
Il a rappelé que la Vision saoudienne 2030 a posé des bases solides pour un succès constant, car elle considère le secteur privé comme le partenaire stratégique permanent le plus important. Elle a surtout commencé à mettre en œuvre des réformes structurelles radicales portant sur tous les aspects économiques et sociaux, à diversifier l'économie, à soutenir le contenu local et à créer des opportunités de croissance innovantes renforcées par un environnement favorable aux investissements locaux et étrangers. Ces piliers sont animés par une ambition illimitée: amener l'Arabie Saoudite à figurer parmi les 15 plus grandes économies du monde en termes de compétitivité; augmenter la contribution du secteur privé à 65% du produit national brut (PNB); hausser la contribution des secteurs non pétroliers de 50%; enfin relever le facteur d'investissement étranger à 5,7% du produit intérieur brut (PIB).
Il a indiqué que la réalisation de ces objectifs nécessite d'énormes investissements, mais qu'ils offrent aux entreprises arabes et internationales des opportunités réalisables dans un cadre de compétitivité et de transparence conformément aux normes internationales. Il a aussi souligné la nécessité pour les entreprises libanaises de bien se préparer, surtout que les hommes d'affaires libanais sont habitués à l'environnement de travail en Arabie saoudite et entretiennent des relations amicales et fraternelles avec de nombreux Saoudiens.
M. Rafih, le directeur du BCG, a ensuite évoqué les opportunités d'investissement en Arabie. Il a signalé que le Royaume a de grandes ambitions en matière d'investissement, car c'est là l'un des trois piliers fondamentaux de la Vision 2030. Pour y parvenir, il a mis en place un certain nombre de financements, de partenariats et de programmes. Cela dans le but d'encourager et de stimuler les investissements nationaux et étrangers, en plus de créer des zones économiques spéciales, le tout sous la supervision de l'Autorité nationale des investissements. Celle-ci fournit, en guise d'incitation supplémentaire, un impôt sur les bénéfices des sociétés qui ne dépasse pas 5% sur une période de 20 ans, ce qui a favorisé le déplacement des bureaux régionaux d'environ 480 entreprises vers le Royaume.
Il a également présenté un investissement de haut niveau dans le secteur de l'éducation, puisqu’il s'agit désormais de l'une des destinations éducatives les plus importantes du Moyen-Orient, comptant environ 8,3 millions d'étudiants à différents niveaux d'enseignement.
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