Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a appelé la communauté internationale à mettre fin aux attaques «terroristes» menées par l’État hébreu contre le Liban-Sud.
Dans un discours prononcé mercredi, lors d’une conférence intitulée «Le Liban: situation et rôle du pays à la lumière des violations israéliennes et des pactes internationaux», M. Mikati a réitéré l’attachement du Liban à la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, dénonçant les «agressions israéliennes» contre le Liban-Sud et le «meurtre délibéré» de ses habitants. Il a, dans ce contexte, rappelé les «multiples appels au calme et à la retenue [qu’il a lancés] depuis le début de la guerre à Gaza, [ainsi que] les avertissements [qu’il a émis] contre une extension du conflit sur tout le territoire libanais».
Le chef de l’Exécutif s’est, par ailleurs, déclaré préoccupé par le «génocide perpétré contre la population de la bande de Gaza». Il a ainsi incité la communauté internationale à «assumer sa responsabilité envers les réfugiés palestiniens», indiquant qu’ «aucun accord de paix ne se fera sans garantie du droit de retour des Palestiniens». D’après lui, «toute tentative visant à empêcher cette population de vivre dans un État libre et indépendant engendrera davantage de crises au Moyen-Orient et dans le monde».
Dans un discours prononcé mercredi, lors d’une conférence intitulée «Le Liban: situation et rôle du pays à la lumière des violations israéliennes et des pactes internationaux», M. Mikati a réitéré l’attachement du Liban à la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, dénonçant les «agressions israéliennes» contre le Liban-Sud et le «meurtre délibéré» de ses habitants. Il a, dans ce contexte, rappelé les «multiples appels au calme et à la retenue [qu’il a lancés] depuis le début de la guerre à Gaza, [ainsi que] les avertissements [qu’il a émis] contre une extension du conflit sur tout le territoire libanais».
Le chef de l’Exécutif s’est, par ailleurs, déclaré préoccupé par le «génocide perpétré contre la population de la bande de Gaza». Il a ainsi incité la communauté internationale à «assumer sa responsabilité envers les réfugiés palestiniens», indiquant qu’ «aucun accord de paix ne se fera sans garantie du droit de retour des Palestiniens». D’après lui, «toute tentative visant à empêcher cette population de vivre dans un État libre et indépendant engendrera davantage de crises au Moyen-Orient et dans le monde».
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