Le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, affirme que la direction des Forces de sécurité intérieure (FSI) «poursuit la mise en œuvre du plan de sécurité qui a conduit à une réduction significative du nombre de crimes dans tout le Liban».
Dans un entretien accordé au quotidien Al-Joumhouria, jeudi, M. Maoulaoui a présenté un compte-rendu du plan de sécurité relatif aux migrants syriens, lancé, selon lui, en raison de l’augmentation du taux de criminalité.
Cette stratégie a abouti, «à un moment donné, à l’absence totale de crimes dans la ville de Beyrouth», a-t-il précisé.
Par ailleurs, le ministre sortant a souligné que le timing de ce plan a été déterminé par la nécessité, pour les citoyens, «de s’habituer à respecter les règles et à craindre les forces de sécurité». «Celles-ci doivent affirmer leur présence dans les rues à un moment où les citoyens aspirent à la présence de l’État», a-t-il poursuivi.
Le ministre Maoulaoui avait lancé, le 15 mai, un plan de sécurité visant à maintenir la sécurité à Beyrouth. Les FSI avaient été déployées aux entrées de la capitale ainsi que dans les principales artères de la ville afin de contrôler les infractions.
Se penchant sur la situation au Liban-Sud, M. Maoulaoui a salué les efforts déployés par les forces de sécurité et l’armée libanaise, soulignant que «l’unique salut pour le pays réside dans son armée nationale, que ce soit dans le sud ou ailleurs».
«Nous avons pris, depuis plusieurs mois, les mesures nécessaires pour les protéger, ainsi que les postes de police situés sur la frontière terrestre et maritime», a-t-il ajouté.
Quant à la question de la surpopulation carcérale, M. Maoulaoui a expliqué que le financement de l’Union européenne, destiné à la construction de nouvelles prisons, a été détourné au profit des migrants syriens. Par conséquent, «nous n’avons pu construire qu’un centre de réadaptation pour mineurs à Warwar, qui est une prison modèle», a-t-il annoncé.
En réponse à une question sur ses ambitions de devenir Premier ministre lors du prochain mandat, M. Maoulaoui a souligné que son «ambition n’est pas personnelle». «Je suis prêt à travailler pour le pays où que je sois et dans tous les postes où je peux faire une différence ou apporter une amélioration», a-t-il conclu.
Dans un entretien accordé au quotidien Al-Joumhouria, jeudi, M. Maoulaoui a présenté un compte-rendu du plan de sécurité relatif aux migrants syriens, lancé, selon lui, en raison de l’augmentation du taux de criminalité.
Cette stratégie a abouti, «à un moment donné, à l’absence totale de crimes dans la ville de Beyrouth», a-t-il précisé.
Par ailleurs, le ministre sortant a souligné que le timing de ce plan a été déterminé par la nécessité, pour les citoyens, «de s’habituer à respecter les règles et à craindre les forces de sécurité». «Celles-ci doivent affirmer leur présence dans les rues à un moment où les citoyens aspirent à la présence de l’État», a-t-il poursuivi.
Le ministre Maoulaoui avait lancé, le 15 mai, un plan de sécurité visant à maintenir la sécurité à Beyrouth. Les FSI avaient été déployées aux entrées de la capitale ainsi que dans les principales artères de la ville afin de contrôler les infractions.
Se penchant sur la situation au Liban-Sud, M. Maoulaoui a salué les efforts déployés par les forces de sécurité et l’armée libanaise, soulignant que «l’unique salut pour le pays réside dans son armée nationale, que ce soit dans le sud ou ailleurs».
«Nous avons pris, depuis plusieurs mois, les mesures nécessaires pour les protéger, ainsi que les postes de police situés sur la frontière terrestre et maritime», a-t-il ajouté.
Quant à la question de la surpopulation carcérale, M. Maoulaoui a expliqué que le financement de l’Union européenne, destiné à la construction de nouvelles prisons, a été détourné au profit des migrants syriens. Par conséquent, «nous n’avons pu construire qu’un centre de réadaptation pour mineurs à Warwar, qui est une prison modèle», a-t-il annoncé.
En réponse à une question sur ses ambitions de devenir Premier ministre lors du prochain mandat, M. Maoulaoui a souligné que son «ambition n’est pas personnelle». «Je suis prêt à travailler pour le pays où que je sois et dans tous les postes où je peux faire une différence ou apporter une amélioration», a-t-il conclu.
Ici Beyrouth
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