©(Eyad BABA/AFP)
Le nouveau Premier ministre britannique, Keir Starmer, a appelé dimanche toutes les parties à la «prudence» à la frontière entre Israël et le Liban, lors de son premier entretien téléphonique avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou.
Selon un porte-parole de Keir Starmer, le Premier ministre a indiqué à son homologue israélien, dont le pays est un des plus proches alliés, que la situation à la frontière nord d'Israël était «profondément inquiétante et qu'il était crucial que toutes les parties agissent avec prudence».
La guerre entre Israël et le Hamas menace de prendre une dimension régionale avec des échanges de tirs quotidiens entre Israël et le Hezbollah.
Le nouveau chef du gouvernement britannique a réitéré la position du Royaume-Uni dans le conflit entre Israël et le Hamas à Gaza, soulignant «la nécessité claire et urgente d'un cessez-le-feu, la libération des otages et une augmentation immédiate du volume d'aide humanitaire» dans le territoire palestinien.
Ces derniers jours, les efforts diplomatiques ont été relancés, avec notamment l'annonce par Israël de l'envoi, la semaine prochaine, d'une délégation pour poursuivre les pourparlers avec les médiateurs qataris.
Keir Starmer a également défendu la mise en place de «conditions de long terme» en vue d'une solution à deux États, «notamment en s'assurant que l'Autorité palestinienne a les moyens financiers d'agir réellement».
Il s'est aussi engagé à poursuivre sa coopération avec Israël contre «les menaces malveillantes».
Le Premier ministre britannique a également eu un entretien avec le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, pour lui faire part de ses positions et priorités quant à la situation dans la région, notamment pour mettre fin aux «souffrances et pertes humaines dévastatrices à Gaza».
Selon le gouvernement de Gaza, la guerre a fait plus de 38 000 morts et les conditions de vie sont désormais «désastreuses» dans le territoire palestinien.
L'existence d'un État palestinien est un «droit inaliénable des Palestiniens», a affirmé Keir Starmer, selon un porte-parole de Downing Street.
Le conflit au Proche-Orient a eu d'importantes répercussions lors des élections législatives britanniques de jeudi qui ont vu l'écrasante victoire des travaillistes. Le Labour a perdu de nombreuses voix et certains sièges au profit de candidats indépendants dénonçant la position de Keir Starmer qu'ils jugent trop pro-israélienne.
Avec AFP
Selon un porte-parole de Keir Starmer, le Premier ministre a indiqué à son homologue israélien, dont le pays est un des plus proches alliés, que la situation à la frontière nord d'Israël était «profondément inquiétante et qu'il était crucial que toutes les parties agissent avec prudence».
La guerre entre Israël et le Hamas menace de prendre une dimension régionale avec des échanges de tirs quotidiens entre Israël et le Hezbollah.
Le nouveau chef du gouvernement britannique a réitéré la position du Royaume-Uni dans le conflit entre Israël et le Hamas à Gaza, soulignant «la nécessité claire et urgente d'un cessez-le-feu, la libération des otages et une augmentation immédiate du volume d'aide humanitaire» dans le territoire palestinien.
Ces derniers jours, les efforts diplomatiques ont été relancés, avec notamment l'annonce par Israël de l'envoi, la semaine prochaine, d'une délégation pour poursuivre les pourparlers avec les médiateurs qataris.
Keir Starmer a également défendu la mise en place de «conditions de long terme» en vue d'une solution à deux États, «notamment en s'assurant que l'Autorité palestinienne a les moyens financiers d'agir réellement».
Il s'est aussi engagé à poursuivre sa coopération avec Israël contre «les menaces malveillantes».
Le Premier ministre britannique a également eu un entretien avec le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, pour lui faire part de ses positions et priorités quant à la situation dans la région, notamment pour mettre fin aux «souffrances et pertes humaines dévastatrices à Gaza».
Selon le gouvernement de Gaza, la guerre a fait plus de 38 000 morts et les conditions de vie sont désormais «désastreuses» dans le territoire palestinien.
L'existence d'un État palestinien est un «droit inaliénable des Palestiniens», a affirmé Keir Starmer, selon un porte-parole de Downing Street.
Le conflit au Proche-Orient a eu d'importantes répercussions lors des élections législatives britanniques de jeudi qui ont vu l'écrasante victoire des travaillistes. Le Labour a perdu de nombreuses voix et certains sièges au profit de candidats indépendants dénonçant la position de Keir Starmer qu'ils jugent trop pro-israélienne.
Avec AFP
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