© (Photo par Mandel NGAN / AFP)
Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a annoncé, mercredi, le lancement d’une initiative commune visant à développer la production de semi-conducteurs dans les Amériques, devenus un enjeu industriel et mondial majeur.
«Cette initiative donnera un coup de fouet à la capacité des pays (du continent américain) à assembler, tester et emballer les semi-conducteurs, en commençant par le Mexique, le Panama et le Costa Rica», a déclaré le secrétaire d’État américain à l’ouverture d’une réunion ministérielle à Washington avec ses homologues de onze pays latino-américains.
Il a expliqué que le continent américain se devait «de jouer un rôle plus important dans la chaîne d’approvisionnement mondiale pour cette technologie essentielle».
Les micro-processeurs ou puces sont un élément indispensable de l’économie moderne, utilisées dans tout – des smartphones aux voitures en passant par les armes.
M. Blinken a également plaidé pour de nouveaux investissements à l’échelle du continent en matière de transition énergétique, notamment l’hydrogène vert, et rappelé l’objectif des douze pays d’allouer quelque 3 milliards de dollars à des projets d’investissements dans les infrastructures.
La réunion ministérielle se déroule dans le cadre d’un «Partenariat des Amériques pour la prospérité économique» (Apep, pour son acronyme en anglais), lancé par le président américain Joe Biden il y a deux ans.
Le prochain sommet de l’Apep se tiendra l’année prochaine au Costa Rica.
Aux yeux de Washington, l’objectif est de concurrencer, essentiellement en encourageant les investissements privés, les gigantesques sommes déversées par la Chine en Amérique latine pour des programmes d’infrastructure qui, selon les États-Unis, se traduisent pour les pays concernés par de lourdes créances.
Les États-Unis cherchent aussi à diversifier et à internationaliser avec les pays du continent les chaînes de production, pour réduire, là aussi, la dépendance à la Chine.
Avec AFP
«Cette initiative donnera un coup de fouet à la capacité des pays (du continent américain) à assembler, tester et emballer les semi-conducteurs, en commençant par le Mexique, le Panama et le Costa Rica», a déclaré le secrétaire d’État américain à l’ouverture d’une réunion ministérielle à Washington avec ses homologues de onze pays latino-américains.
Il a expliqué que le continent américain se devait «de jouer un rôle plus important dans la chaîne d’approvisionnement mondiale pour cette technologie essentielle».
Les micro-processeurs ou puces sont un élément indispensable de l’économie moderne, utilisées dans tout – des smartphones aux voitures en passant par les armes.
M. Blinken a également plaidé pour de nouveaux investissements à l’échelle du continent en matière de transition énergétique, notamment l’hydrogène vert, et rappelé l’objectif des douze pays d’allouer quelque 3 milliards de dollars à des projets d’investissements dans les infrastructures.
La réunion ministérielle se déroule dans le cadre d’un «Partenariat des Amériques pour la prospérité économique» (Apep, pour son acronyme en anglais), lancé par le président américain Joe Biden il y a deux ans.
Le prochain sommet de l’Apep se tiendra l’année prochaine au Costa Rica.
Aux yeux de Washington, l’objectif est de concurrencer, essentiellement en encourageant les investissements privés, les gigantesques sommes déversées par la Chine en Amérique latine pour des programmes d’infrastructure qui, selon les États-Unis, se traduisent pour les pays concernés par de lourdes créances.
Les États-Unis cherchent aussi à diversifier et à internationaliser avec les pays du continent les chaînes de production, pour réduire, là aussi, la dépendance à la Chine.
Avec AFP
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