Le chef des Forces Libanaises (FL), Samir Geagea, a tenu le Courant patriotique libre (CPL) et son allié, le tandem Amal-Hezbollah, pour «responsables de la crise qui ravage le pays», d’où la nécessité de les «affronter, à l’heure où la nature et les causes de cet effondrement sont désormais connues de tous les Libanais».
Lors d’un discours prononcé dans le cadre du dîner annuel consacré à Radio Liban-Libre, M. Geagea s’en est pris à l’axe de la résistance qui, en «impliquant le Liban dans un conflit qui n’est pas le sien (la guerre entre le Hamas et Israël, ndlr), a détruit les structures fondamentales de l’État». Ainsi, et du fait de son «alliance avec l’axe le plus corrompu du pays, le CPL a permis la dépravation du pays, placé aujourd’hui sous le contrôle d’un groupe qui s’oppose à toute forme de changement».
Accusant le CPL de «faire primer ses intérêts sur ceux de la nation», le chef des FL a pointé du doigt les «politiques opportunistes» du parti orange qui ont «conduit à la paralysie des institutions et empêché toute réforme».
«Après six ans de gouvernance, avec un président de son camp et une majorité aussi bien parlementaire que gouvernementale, le CPL a échoué et n’a pas pris la peine de reconnaître ses erreurs pour y remédier», a déclaré M. Geagea. Et d’insister: «Le Liban a besoin d'un changement radical et d’une vision claire pour l’avenir», précisant que les «Libanais sont désormais prêts à soutenir tout effort réel de réforme».
Saluant les tentatives de l’opposition qui «œuvre constamment en faveur d'une politique de sauvetage», le leader des FL a appelé les députés «du centre» à «prendre des positions claires, décisives et audacieuses» sur des «questions fondamentales qui mettent en jeu l’avenir du pays».
Lors d’un discours prononcé dans le cadre du dîner annuel consacré à Radio Liban-Libre, M. Geagea s’en est pris à l’axe de la résistance qui, en «impliquant le Liban dans un conflit qui n’est pas le sien (la guerre entre le Hamas et Israël, ndlr), a détruit les structures fondamentales de l’État». Ainsi, et du fait de son «alliance avec l’axe le plus corrompu du pays, le CPL a permis la dépravation du pays, placé aujourd’hui sous le contrôle d’un groupe qui s’oppose à toute forme de changement».
Accusant le CPL de «faire primer ses intérêts sur ceux de la nation», le chef des FL a pointé du doigt les «politiques opportunistes» du parti orange qui ont «conduit à la paralysie des institutions et empêché toute réforme».
«Après six ans de gouvernance, avec un président de son camp et une majorité aussi bien parlementaire que gouvernementale, le CPL a échoué et n’a pas pris la peine de reconnaître ses erreurs pour y remédier», a déclaré M. Geagea. Et d’insister: «Le Liban a besoin d'un changement radical et d’une vision claire pour l’avenir», précisant que les «Libanais sont désormais prêts à soutenir tout effort réel de réforme».
Saluant les tentatives de l’opposition qui «œuvre constamment en faveur d'une politique de sauvetage», le leader des FL a appelé les députés «du centre» à «prendre des positions claires, décisives et audacieuses» sur des «questions fondamentales qui mettent en jeu l’avenir du pays».
Ici Beyrouth
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