©(ANDREW CABALLERO-REYNOLDS/AFP)
Donald Trump a prédit jeudi une "victoire incroyable" des républicains à la présidentielle de novembre, en acceptant l'investiture de son parti à la convention républicaine de Milwaukee.
"Je me présente pour être le président de toute l'Amérique, pas de la moitié de l'Amérique", a-t-il lancé dans un discours capital censé le placer sur la voie directe d'une reconquête de la Maison-Blanche.
Cinq jours seulement après avoir failli perdre la vie dans un meeting de campagne, le septuagénaire est remonté sur scène, non seulement en rescapé miraculeux des balles qui l'ont frôlé, mais surtout en grand patron incontesté de la droite américaine.
Sous les yeux de sa femme Melania et de sa fille Ivanka, le républicain est revenu en détail sur cette attaque.
"Le sang coulait partout et pourtant, d'une certaine manière, je me sentais en sécurité, parce que j'avais Dieu à mes côtés", a-t-il raconté devant la foule de ses partisans.
Il a fait observer une minute de silence pour Corey Comperatore, un pompier de 50 ans tué par une des balles qui le visaient.
Donald Trump a ensuite embrassé le casque de l'uniforme de la victime.
Les yeux de ses partisans, présents par dizaines de milliers à Milwaukee, étaient aussi braqués sur le pansement bien visible sur l'oreille droite de l'ancien président, illustrant selon eux le courage d'un homme qu'on cherche à abattre et qui ne se résigne jamais.
Une image à fort impact, qui marquera les mémoires, tout comme celle samedi d'un Donald Trump la joue ensanglantée et le poing levé, appelant ses supporteurs à combattre tandis que ses gardes du corps l'évacuaient précipitamment de son estrade de campagne à Butler, en Pennsylvanie.
Un moment fort de la grand-messe: le premier grand oral de J.D. Vance, un sénateur atypique choisi par le candidat pour le seconder dans la campagne.
Le jeune élu de 39 ans, opposé à l'aide à l'Ukraine et pratiquant un discours populiste anti-immigration, deviendra vice-président des États-Unis si Donald Trump l'emporte en novembre.
Donald Trump a prévu de reprendre sa campagne dès samedi, avec un meeting dans l'État du Michigan, une semaine exactement après les tirs qui l'ont visé.
Avec AFP
"Je me présente pour être le président de toute l'Amérique, pas de la moitié de l'Amérique", a-t-il lancé dans un discours capital censé le placer sur la voie directe d'une reconquête de la Maison-Blanche.
Cinq jours seulement après avoir failli perdre la vie dans un meeting de campagne, le septuagénaire est remonté sur scène, non seulement en rescapé miraculeux des balles qui l'ont frôlé, mais surtout en grand patron incontesté de la droite américaine.
Sous les yeux de sa femme Melania et de sa fille Ivanka, le républicain est revenu en détail sur cette attaque.
"Le sang coulait partout et pourtant, d'une certaine manière, je me sentais en sécurité, parce que j'avais Dieu à mes côtés", a-t-il raconté devant la foule de ses partisans.
Il a fait observer une minute de silence pour Corey Comperatore, un pompier de 50 ans tué par une des balles qui le visaient.
Donald Trump a ensuite embrassé le casque de l'uniforme de la victime.
Les yeux de ses partisans, présents par dizaines de milliers à Milwaukee, étaient aussi braqués sur le pansement bien visible sur l'oreille droite de l'ancien président, illustrant selon eux le courage d'un homme qu'on cherche à abattre et qui ne se résigne jamais.
Une image à fort impact, qui marquera les mémoires, tout comme celle samedi d'un Donald Trump la joue ensanglantée et le poing levé, appelant ses supporteurs à combattre tandis que ses gardes du corps l'évacuaient précipitamment de son estrade de campagne à Butler, en Pennsylvanie.
Un moment fort de la grand-messe: le premier grand oral de J.D. Vance, un sénateur atypique choisi par le candidat pour le seconder dans la campagne.
Le jeune élu de 39 ans, opposé à l'aide à l'Ukraine et pratiquant un discours populiste anti-immigration, deviendra vice-président des États-Unis si Donald Trump l'emporte en novembre.
Donald Trump a prévu de reprendre sa campagne dès samedi, avec un meeting dans l'État du Michigan, une semaine exactement après les tirs qui l'ont visé.
Avec AFP
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