©Photo by ANGELA WEISS / AFP
Hadi Matar, un jeune Américain d’origine libanaise a été inculpé par la justice américaine, mercredi, pour avoir «tenté d’offrir un soutien matériel au Hezbollah, une organisation terroriste étrangère et pour s’être livré à un acte de terrorisme transcendant les frontières nationales, fournissant un soutien matériel à des terroristes», selon le communiqué du département de la Justice américaine.
L’assaillant, âgé de 26 ans, avait tenté de tuer l’écrivain américano-britannique Salman Rushdie, dans l’État de New York en août 2022. Hadi Matar avait poignardé M. Rushdie une dizaine de fois avant d’être maîtrisé. Salman Rushdie avait fait face à des menaces de mort depuis la publication, en 1988, des Versets sataniques, un roman juge blasphématoire par le guide suprême iranien, l’ayatollah Khomeini, qui avait émis une fatwa contre lui.
«En tentant de tuer Salman Rushdie à New York en 2022, Hadi Matar a commis un acte de terrorisme au nom du Hezbollah, une organisation terroriste liée au régime iranien», a déclaré le procureur général Merrick B. Garland dans un communiqué publié mercredi.
Selon les documents judiciaires et les déclarations faites par le gouvernement devant le tribunal, entre septembre 2020 et août 2022, Matar a tenté de fournir un soutien matériel et des ressources au Hezbollah.
L’acte d’accusation affirme en outre que Matar a tenté de tuer Rushdie et l’a effectivement agressé.
Le jeune Américano-Libanais est jugé devant un tribunal local dans l’État de New York, mais il est également poursuivi au niveau fédéral avec trois chefs d’accusation, dont «le soutien à une organisation terroriste étrangère», selon un document judiciaire daté du 17 juillet et rendu public mercredi.
S’il est reconnu coupable, Matar risque une peine maximale de prison à perpétuité.
L’assaillant, âgé de 26 ans, avait tenté de tuer l’écrivain américano-britannique Salman Rushdie, dans l’État de New York en août 2022. Hadi Matar avait poignardé M. Rushdie une dizaine de fois avant d’être maîtrisé. Salman Rushdie avait fait face à des menaces de mort depuis la publication, en 1988, des Versets sataniques, un roman juge blasphématoire par le guide suprême iranien, l’ayatollah Khomeini, qui avait émis une fatwa contre lui.
«En tentant de tuer Salman Rushdie à New York en 2022, Hadi Matar a commis un acte de terrorisme au nom du Hezbollah, une organisation terroriste liée au régime iranien», a déclaré le procureur général Merrick B. Garland dans un communiqué publié mercredi.
Selon les documents judiciaires et les déclarations faites par le gouvernement devant le tribunal, entre septembre 2020 et août 2022, Matar a tenté de fournir un soutien matériel et des ressources au Hezbollah.
L’acte d’accusation affirme en outre que Matar a tenté de tuer Rushdie et l’a effectivement agressé.
Le jeune Américano-Libanais est jugé devant un tribunal local dans l’État de New York, mais il est également poursuivi au niveau fédéral avec trois chefs d’accusation, dont «le soutien à une organisation terroriste étrangère», selon un document judiciaire daté du 17 juillet et rendu public mercredi.
S’il est reconnu coupable, Matar risque une peine maximale de prison à perpétuité.
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