Le président du Parti des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a affirmé que le président de la Chambre, Nabih Berry, a «levé le voile sur ses réelles intentions concernant l’échéance présidentielle».
«Aujourd’hui, le président Berry a craché le morceau d’un seul coup en proposant une nouvelle trilogie pour l’élection du président: consultation, consensus et élection, ce qui signifie très clairement que ces élections seront une formalité après la consultation et le consensus», a regretté M. Geagea dans un communiqué publié jeudi par son bureau de presse.
Pour le leader des FL, cette prise de position du président de la Chambre est une «violation flagrante de la Constitution libanaise» qui «stipule pourtant dans tous ses articles traitant de la présidentielle que seules des élections doivent être organisées».
Pour le leader des Forces libanaises, «la nouvelle trilogie de Nabih Berry rappelle l’ancien triptyque dont le slogan était «armée, peuple et résistance» et qui a conduit, a aussi dénoncé M. Geagea, «à la confiscation du rôle de l’armée, seule à défendre le Liban et au déplacement du peuple qui souffre de l’absence du rôle réel de l’État».
Il a aussi déploré que «tous les efforts déployés par son parti en faveur d’une consultation ou l’obtention d’un consensus dans le cadre de ce qui est stipulé dans la Constitution n’ont pas abouti à l’élection d’un président en raison de l’obstruction systématique» de l’axe de la Moumanaa sans toutefois le nommer.
«D’où l’impératif de respecter la Constitution en organisant des élections sans lier cela à un prétendu consensus basé sur l’approbation réelle de toutes les parties en faveur du candidat du Hezbollah», a conclu Samir Geagea.
«Aujourd’hui, le président Berry a craché le morceau d’un seul coup en proposant une nouvelle trilogie pour l’élection du président: consultation, consensus et élection, ce qui signifie très clairement que ces élections seront une formalité après la consultation et le consensus», a regretté M. Geagea dans un communiqué publié jeudi par son bureau de presse.
Pour le leader des FL, cette prise de position du président de la Chambre est une «violation flagrante de la Constitution libanaise» qui «stipule pourtant dans tous ses articles traitant de la présidentielle que seules des élections doivent être organisées».
Pour le leader des Forces libanaises, «la nouvelle trilogie de Nabih Berry rappelle l’ancien triptyque dont le slogan était «armée, peuple et résistance» et qui a conduit, a aussi dénoncé M. Geagea, «à la confiscation du rôle de l’armée, seule à défendre le Liban et au déplacement du peuple qui souffre de l’absence du rôle réel de l’État».
Il a aussi déploré que «tous les efforts déployés par son parti en faveur d’une consultation ou l’obtention d’un consensus dans le cadre de ce qui est stipulé dans la Constitution n’ont pas abouti à l’élection d’un président en raison de l’obstruction systématique» de l’axe de la Moumanaa sans toutefois le nommer.
«D’où l’impératif de respecter la Constitution en organisant des élections sans lier cela à un prétendu consensus basé sur l’approbation réelle de toutes les parties en faveur du candidat du Hezbollah», a conclu Samir Geagea.
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