Plusieurs roquettes ont été tirées jeudi en direction d'une base accueillant des troupes de la coalition internationale antijihadiste dirigée par les États-Unis en Irak, ont indiqué des responsables sécuritaires irakiens et américains.
"Quatre roquettes sont tombées à proximité" de la base d'Aïn al-Assad, dans la province d'Anbar (ouest), a indiqué une source sécuritaire irakienne.
Un autre responsable de la sécurité en Irak a indiqué qu'une attaque avait été menée à l'aide "d'un drone et de trois roquettes", retrouvées à proximité du périmètre de la base.
De son côté, un responsable américain a précisé que les projectiles avaient atterri à l'extérieur de la base sans causer de dégâts humains ou matériels, selon les premiers rapports.
Toutes les sources ont témoigné sous couvert d'anonymat, n'étant pas autorisées à parler aux médias.
L'attaque n'a pas été revendiquée dans l'immédiat.
Les groupes armés soutenus par l'Iran en Irak ont largement mis fin à des attaques similaires contre les troupes soutenues par les États-Unis au cours des derniers mois.
L'attaque de jeudi est survenue après la tenue cette semaine à Washington d'une réunion de sécurité entre des responsables irakiens et américains sur l'avenir de la coalition internationale antijihadiste en Irak. Les groupes soutenus par l'Iran avaient exigé son retrait.
Le ministère américain de la Défense a déclaré mercredi que "les délégations sont parvenues à un accord sur le concept d'une nouvelle phase des relations bilatérales en matière de sécurité".
Cette phase inclurait "une coopération par le biais d'officiers de liaison, de formations et de programmes traditionnels de coopération en matière de sécurité".
Les États-Unis déploient environ 2.500 soldats en Irak et près de 900 en Syrie, au sein de la coalition créée en 2014 pour combattre le groupe jihadiste État islamique (EI).
Cet hiver, la "Résistance islamique en Irak", nébuleuse de mouvements irakiens pro-Iran, a effectué plus de 175 tirs de roquettes et frappes de drones en Irak et en Syrie contre les forces de la coalition.
Avec AFP
"Quatre roquettes sont tombées à proximité" de la base d'Aïn al-Assad, dans la province d'Anbar (ouest), a indiqué une source sécuritaire irakienne.
Un autre responsable de la sécurité en Irak a indiqué qu'une attaque avait été menée à l'aide "d'un drone et de trois roquettes", retrouvées à proximité du périmètre de la base.
De son côté, un responsable américain a précisé que les projectiles avaient atterri à l'extérieur de la base sans causer de dégâts humains ou matériels, selon les premiers rapports.
Toutes les sources ont témoigné sous couvert d'anonymat, n'étant pas autorisées à parler aux médias.
L'attaque n'a pas été revendiquée dans l'immédiat.
Les groupes armés soutenus par l'Iran en Irak ont largement mis fin à des attaques similaires contre les troupes soutenues par les États-Unis au cours des derniers mois.
L'attaque de jeudi est survenue après la tenue cette semaine à Washington d'une réunion de sécurité entre des responsables irakiens et américains sur l'avenir de la coalition internationale antijihadiste en Irak. Les groupes soutenus par l'Iran avaient exigé son retrait.
Le ministère américain de la Défense a déclaré mercredi que "les délégations sont parvenues à un accord sur le concept d'une nouvelle phase des relations bilatérales en matière de sécurité".
Cette phase inclurait "une coopération par le biais d'officiers de liaison, de formations et de programmes traditionnels de coopération en matière de sécurité".
Les États-Unis déploient environ 2.500 soldats en Irak et près de 900 en Syrie, au sein de la coalition créée en 2014 pour combattre le groupe jihadiste État islamique (EI).
Cet hiver, la "Résistance islamique en Irak", nébuleuse de mouvements irakiens pro-Iran, a effectué plus de 175 tirs de roquettes et frappes de drones en Irak et en Syrie contre les forces de la coalition.
Avec AFP
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