L'ancien dirigeant du Parti socialiste progressiste (PSP), Walid Joumblatt, a tiré la sonnette d’alarme en affirmant qu’«il est temps que le G7 impose un cessez-le-feu à Gaza», à la lumière de l’escalade continue entre les parties, qui fait craindre une régionalisation du conflit entre le Hamas et Israël.
Dans un message publié mardi sur son compte X, M. Joumblatt réagissait ainsi à la déclaration des ministres des Affaires étrangères du G7 à l’issue de leur réunion tenue dimanche. Dans le texte de la déclaration, les ministres du G7 ont exprimé leur «profonde inquiétude face à la tension croissante au Moyen-Orient qui menace de déclencher un conflit plus important dans la région».
Dans sa déclaration, le Groupe des 7 a prévenu qu'«aucun État ou nation ne tirera profit d'une nouvelle escalade au Moyen-Orient», appelant toutes les parties concernées à une «désescalade» et à l’ouverture «d’un dialogue constructif» afin de réduire les tensions croissantes au Moyen-Orient.
Ces prises de positions des ministres des Affaires étrangères du G7 qui se disent aussi «très inquiets» surviennent «alors que les craintes d'une attaque de l'Iran et de ses alliés contre Israël vont crescendo et ce, en réponse à l'assassinat mercredi du chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyé, à Téhéran, et d'un haut commandant du Hezbollah, Fouad Chokr, dans la banlieue sud de Beyrouth, mardi dernier».
Dans un message publié mardi sur son compte X, M. Joumblatt réagissait ainsi à la déclaration des ministres des Affaires étrangères du G7 à l’issue de leur réunion tenue dimanche. Dans le texte de la déclaration, les ministres du G7 ont exprimé leur «profonde inquiétude face à la tension croissante au Moyen-Orient qui menace de déclencher un conflit plus important dans la région».
Dans sa déclaration, le Groupe des 7 a prévenu qu'«aucun État ou nation ne tirera profit d'une nouvelle escalade au Moyen-Orient», appelant toutes les parties concernées à une «désescalade» et à l’ouverture «d’un dialogue constructif» afin de réduire les tensions croissantes au Moyen-Orient.
Ces prises de positions des ministres des Affaires étrangères du G7 qui se disent aussi «très inquiets» surviennent «alors que les craintes d'une attaque de l'Iran et de ses alliés contre Israël vont crescendo et ce, en réponse à l'assassinat mercredi du chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyé, à Téhéran, et d'un haut commandant du Hezbollah, Fouad Chokr, dans la banlieue sud de Beyrouth, mardi dernier».
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