Une réunion du Comité de coordination libano-français (CCLF, regroupant plusieurs associations) s’est tenue, mardi, en visioconférence, dans le cadre de la commémoration de l’explosion du 4 août 2020 qui a dévasté Beyrouth. Cette réunion a notamment rassemblé des familles de victimes, leurs avocats mais aussi des membres de l’Assemblée nationale et du Sénat français.
Le Comité de coordination libano-français (CCLF) – regroupant plusieurs associations – a tenu, mardi 6 août, une réunion pour commémorer le quatrième anniversaire de l’explosion du port de Beyrouth, le 4 août 2020.
À défaut de pouvoir organiser une réunion publique – comme cela avait été le cas l’année dernière à Paris sur la place du Trocadéro – en raison de l’organisation des Jeux olympiques, la réunion de mardi s'est tenue en visioconférence. Elle a rassemblé des parents de victimes et leurs avocats, les associations Human Rights Watch et Amnesty International, mais aussi des membres de l’Assemblée nationale et du Sénat français.
«Ensemble, ils ont fait le point sur l'enquête et les actions à entreprendre pour que la vérité éclate au grand jour et que justice soit rendue aux victimes et à tous les Libanais», indique un communiqué du CCLF relayé sur les réseaux sociaux. À l’issue de cette réunion, les différents participants «ont fait le point sur l'enquête et les actions à entreprendre pour que la vérité éclate au grand jour et que justice soit rendue aux victimes et à tous les Libanais».
Le CCLF a affirmé son engagement à collaborer avec les institutions françaises et internationales en faveur de la justice, de la souveraineté du Liban et de l'État de droit. Le texte du communiqué souligne la détermination du CCLF à poursuivre la lutte aux côtés des familles des victimes et de leurs avocats pour faire avancer l'enquête et traduire les responsables en justice malgré les obstacles rencontrés. La déclaration met en avant la complexité de cette bataille qui s'annonce longue et difficile, mais qui, selon le CCLF, aboutira inévitablement à la vérité.
«Cette tragédie synthétise le ‘mal libanais’ et son dénouement sera salutaire pour le pays à tous les niveaux», conclut le communiqué du CCLF.
* Les associations composant le CCLF sont : Change Lebanon (CL), le Collectif libanais de France (CLF), le Forum libanais en Europe (FLE), le Mouvement des citoyens libanais du monde (MCLM) et Our new Lebanon - France (ONL - France) avec le CIH (Civic influence hub) comme organisation conseil.
Le Comité de coordination libano-français (CCLF) – regroupant plusieurs associations – a tenu, mardi 6 août, une réunion pour commémorer le quatrième anniversaire de l’explosion du port de Beyrouth, le 4 août 2020.
À défaut de pouvoir organiser une réunion publique – comme cela avait été le cas l’année dernière à Paris sur la place du Trocadéro – en raison de l’organisation des Jeux olympiques, la réunion de mardi s'est tenue en visioconférence. Elle a rassemblé des parents de victimes et leurs avocats, les associations Human Rights Watch et Amnesty International, mais aussi des membres de l’Assemblée nationale et du Sénat français.
«Ensemble, ils ont fait le point sur l'enquête et les actions à entreprendre pour que la vérité éclate au grand jour et que justice soit rendue aux victimes et à tous les Libanais», indique un communiqué du CCLF relayé sur les réseaux sociaux. À l’issue de cette réunion, les différents participants «ont fait le point sur l'enquête et les actions à entreprendre pour que la vérité éclate au grand jour et que justice soit rendue aux victimes et à tous les Libanais».
6, 2024
— Comité de Coordination Libano-Français (@cclibanofrance)— Comité de Coordination Libano-Français (@cclibanofrance) August 6, 2024
Le CCLF a affirmé son engagement à collaborer avec les institutions françaises et internationales en faveur de la justice, de la souveraineté du Liban et de l'État de droit. Le texte du communiqué souligne la détermination du CCLF à poursuivre la lutte aux côtés des familles des victimes et de leurs avocats pour faire avancer l'enquête et traduire les responsables en justice malgré les obstacles rencontrés. La déclaration met en avant la complexité de cette bataille qui s'annonce longue et difficile, mais qui, selon le CCLF, aboutira inévitablement à la vérité.
«Cette tragédie synthétise le ‘mal libanais’ et son dénouement sera salutaire pour le pays à tous les niveaux», conclut le communiqué du CCLF.
* Les associations composant le CCLF sont : Change Lebanon (CL), le Collectif libanais de France (CLF), le Forum libanais en Europe (FLE), le Mouvement des citoyens libanais du monde (MCLM) et Our new Lebanon - France (ONL - France) avec le CIH (Civic influence hub) comme organisation conseil.
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