La députée Ghada Ayoub, membre du bloc de la République forte (Forces libanaises) a précisé que la vidéo de son discours, qui a circulé sur les réseaux suscitant de vives critiques, «n'a pas été divulguée» mais qu’elle l’a elle-même publiée sur son compte X depuis quatre jours.
«La page Facebook des FL à Jezzine a également repris la publication», a-t-elle ajouté dans un communiqué publié vendredi, rappelant que ce discours a été prononcé le samedi 26 juillet, lors d’une soirée tenue à Jounieh, commémorant la libération du leader FL, Samir Geagea, de prison.
Mme Ayoub a été la cible d’une campagne de diffamation à la suite de la diffusion de ce discours «spontané», dans lequel elle évoque «une lutte continue depuis plus de 1.400 ans».
«Mes paroles ont été déformées et l’expression ‘lutte continue’ a été mal comprise, perdant le sens émotionnel et spirituel que j'avais voulu exprimer», a-t-elle avancé.
Elle a expliqué que par ce terme, elle faisait référence au parcours du patriarcat maronite jusqu’à la fondation du Grand Liban, en soulignant la fête des martyrs de l'Église maronite ou des martyrs de saint Maron.
«Cette lutte continue est contre la persécution, quelle qu'en soit la source, et contre l'injustice et les oppresseurs, quels qu'ils soient. La persécution et l'injustice ne connaissent ni religion, ni secte, ni couleur, ni race», a-t-elle conclu.
«La page Facebook des FL à Jezzine a également repris la publication», a-t-elle ajouté dans un communiqué publié vendredi, rappelant que ce discours a été prononcé le samedi 26 juillet, lors d’une soirée tenue à Jounieh, commémorant la libération du leader FL, Samir Geagea, de prison.
Mme Ayoub a été la cible d’une campagne de diffamation à la suite de la diffusion de ce discours «spontané», dans lequel elle évoque «une lutte continue depuis plus de 1.400 ans».
«Mes paroles ont été déformées et l’expression ‘lutte continue’ a été mal comprise, perdant le sens émotionnel et spirituel que j'avais voulu exprimer», a-t-elle avancé.
Elle a expliqué que par ce terme, elle faisait référence au parcours du patriarcat maronite jusqu’à la fondation du Grand Liban, en soulignant la fête des martyrs de l'Église maronite ou des martyrs de saint Maron.
«Cette lutte continue est contre la persécution, quelle qu'en soit la source, et contre l'injustice et les oppresseurs, quels qu'ils soient. La persécution et l'injustice ne connaissent ni religion, ni secte, ni couleur, ni race», a-t-elle conclu.
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