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- Paris, Berlin et Londres exigent un cessez-le-feu immédiat à Gaza
©(AFP)
La France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont affirmé, lundi, «qu’aucun délai supplémentaire n’était possible» pour négocier un cessez-le-feu à Gaza, mettant en garde «l'Iran et ses alliés» contre toute «nouvelle escalade» du conflit.
«Les combats doivent cesser tout de suite et tous les otages encore détenus par le Hamas doivent être libérés», affirment les dirigeants de ces trois pays dans une déclaration commune, relayant l'appel de leurs homologues américain, égyptien et qatari «à la reprise immédiate des négociations».
Huit mois après l'attaque du Hamas qui a tué 1.198 personnes le 7 octobre, l'offensive menée en représailles par Israël a fait au moins 39.790 morts à Gaza, où 111 personnes sont toujours retenues – dont 39 sont décédées d'après l'armée israélienne.
«Nous convenons qu'il ne peut plus y avoir aucun délai supplémentaire», ajoutent les dirigeants européens, se disant «profondément préoccupés par l'aggravation des tensions dans la région».
Le conflit a en effet pris une nouvelle dimension depuis les assassinats fin juillet du chef militaire du Hezbollah libanais, Fouad Chokr, près de Beyrouth, et surtout du chef du Hamas, Ismaïl Haniyé, à Téhéran. Le régime iranien a d'ailleurs affirmé avoir «légalement le droit de punir» Israël pour cet acte – non revendiqué – perpétré sur son sol.
Mais pour Paris, Londres et Berlin, «aucun pays ou nation n'a à gagner d'une nouvelle escalade au Moyen-Orient».
Les trois capitales européennes ont exhorté «l'Iran et ses alliés à s'abstenir d'attaques qui aggraveraient encore plus les tensions régionales et compromettraient la possibilité de parvenir à un cessez-le-feu et à la libération des otages».
AFP
«Les combats doivent cesser tout de suite et tous les otages encore détenus par le Hamas doivent être libérés», affirment les dirigeants de ces trois pays dans une déclaration commune, relayant l'appel de leurs homologues américain, égyptien et qatari «à la reprise immédiate des négociations».
Huit mois après l'attaque du Hamas qui a tué 1.198 personnes le 7 octobre, l'offensive menée en représailles par Israël a fait au moins 39.790 morts à Gaza, où 111 personnes sont toujours retenues – dont 39 sont décédées d'après l'armée israélienne.
«Nous convenons qu'il ne peut plus y avoir aucun délai supplémentaire», ajoutent les dirigeants européens, se disant «profondément préoccupés par l'aggravation des tensions dans la région».
Le conflit a en effet pris une nouvelle dimension depuis les assassinats fin juillet du chef militaire du Hezbollah libanais, Fouad Chokr, près de Beyrouth, et surtout du chef du Hamas, Ismaïl Haniyé, à Téhéran. Le régime iranien a d'ailleurs affirmé avoir «légalement le droit de punir» Israël pour cet acte – non revendiqué – perpétré sur son sol.
Mais pour Paris, Londres et Berlin, «aucun pays ou nation n'a à gagner d'une nouvelle escalade au Moyen-Orient».
Les trois capitales européennes ont exhorté «l'Iran et ses alliés à s'abstenir d'attaques qui aggraveraient encore plus les tensions régionales et compromettraient la possibilité de parvenir à un cessez-le-feu et à la libération des otages».
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