©(Roman Pilipey / AFP)
L'Ukraine, qui a dit mercredi «bien avancer» dans la région russe frontalière de Koursk, a assuré vouloir y créer une «zone tampon» pour se protéger des bombardements, ainsi que des «couloirs humanitaires» pour venir en aide, selon elle, aux civils russes.
«Nous continuons de progresser dans la région de Koursk. Depuis le début de la journée, nous avons parcouru entre un et deux kilomètres dans différentes zones», a affirmé le président ukrainien Volodymyr Zelensky sur Telegram, tout en faisant état de «plus de 100 militaires russes capturés» mercredi.
Le gouverneur de la région de Koursk, où plus de 120.000 personnes avaient déjà été évacuées ces derniers jours, a annoncé, dans la nuit de mercredi à jeudi, l'évacuation d'un district supplémentaire, celui de Glouchkovsky.
De leur côté, les forces ukrainiennes ont utilisé des drones de longue portée pour viser quatre aérodromes du centre et de l'ouest de la Russie – à Koursk, Voronej, Savasleïka et Borissoglebsk –, a dit à l'AFP une source au sein des services de sécurité à Kiev.
Des dizaines de milliers de déplacés
Le ministre ukrainien de l'Intérieur, Igor Klymenko, a expliqué que l'Ukraine cherchait à créer «une zone tampon» dans la région de Koursk afin de protéger sa population frontalière des bombardements russes.
Dans la région russe de Belgorod, voisine de celle de Koursk, l'état d'urgence a été décrété, mercredi, en raison de bombardements ukrainiens. L'évacuation de 11.000 personnes y avait été annoncée lundi soir.
Au moins 12 civils ont été tués et plus de cent blessés depuis le début de l'offensive ukrainienne, ont annoncé lundi les autorités de la région de Koursk, sans fournir de nouveau bilan depuis.
Selon le ministre ukrainien de l'Intérieur, «plus de 20.000 personnes» ont déjà été évacuées dans la région de Soumy, frontalière de celle de Koursk.
L'Ukraine, par la voix d'une vice-Première ministre, Iryna Verechtchouk, a fait savoir, mercredi, que son armée prévoyait d'ouvrir des couloirs humanitaires dans la région de Koursk pour faciliter les évacuations de civils «tant en direction de la Russie que de l'Ukraine». Elle a diffusé, dans la nuit, un numéro de téléphone à l'usage des personnes concernées.
Florent Vergnes et Jonathan Brown, avec AFP
«Nous continuons de progresser dans la région de Koursk. Depuis le début de la journée, nous avons parcouru entre un et deux kilomètres dans différentes zones», a affirmé le président ukrainien Volodymyr Zelensky sur Telegram, tout en faisant état de «plus de 100 militaires russes capturés» mercredi.
Le gouverneur de la région de Koursk, où plus de 120.000 personnes avaient déjà été évacuées ces derniers jours, a annoncé, dans la nuit de mercredi à jeudi, l'évacuation d'un district supplémentaire, celui de Glouchkovsky.
De leur côté, les forces ukrainiennes ont utilisé des drones de longue portée pour viser quatre aérodromes du centre et de l'ouest de la Russie – à Koursk, Voronej, Savasleïka et Borissoglebsk –, a dit à l'AFP une source au sein des services de sécurité à Kiev.
Des dizaines de milliers de déplacés
Le ministre ukrainien de l'Intérieur, Igor Klymenko, a expliqué que l'Ukraine cherchait à créer «une zone tampon» dans la région de Koursk afin de protéger sa population frontalière des bombardements russes.
Dans la région russe de Belgorod, voisine de celle de Koursk, l'état d'urgence a été décrété, mercredi, en raison de bombardements ukrainiens. L'évacuation de 11.000 personnes y avait été annoncée lundi soir.
Au moins 12 civils ont été tués et plus de cent blessés depuis le début de l'offensive ukrainienne, ont annoncé lundi les autorités de la région de Koursk, sans fournir de nouveau bilan depuis.
Selon le ministre ukrainien de l'Intérieur, «plus de 20.000 personnes» ont déjà été évacuées dans la région de Soumy, frontalière de celle de Koursk.
L'Ukraine, par la voix d'une vice-Première ministre, Iryna Verechtchouk, a fait savoir, mercredi, que son armée prévoyait d'ouvrir des couloirs humanitaires dans la région de Koursk pour faciliter les évacuations de civils «tant en direction de la Russie que de l'Ukraine». Elle a diffusé, dans la nuit, un numéro de téléphone à l'usage des personnes concernées.
Florent Vergnes et Jonathan Brown, avec AFP
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