©(Photo de Genya SAVILOV / AFP)
Les forces ukrainiennes ont déjoué tôt dimanche une attaque de missiles russes dirigée contre Kiev, a annoncé l'administration civile de la capitale, sans préciser les dégâts ou les éventuels blessés.
«Tôt ce matin, vers 05H00 (02H00 GMT, ndlr), l'ennemi a employé des armes balistiques pour lancer une attaque de missiles sur Kiev», ont rapporté les autorités sur le réseau social Telegram.
Selon la même source, il est «très probable» qu'il s'agisse de «missiles balistiques nord-coréens de type KN-23».
D'après les informations préliminaires, les engins ont été interceptés à l'approche de la capitale ukrainienne et n'ont donc pas atteint leur cible, indique l'administration.
Par ailleurs, des drones d'attaque russes ont ciblé «presque simultanément» la ville, mais ont tous été «détruits» en dehors du périmètre de Kiev par la défense aérienne, affirment les autorités.
«Aucune destruction n'a été constatée à Kiev, et aucune information concernant des victimes n'a été reçue», ajoute la même source.
L'Ukraine est régulièrement frappée par des missiles et des drones meurtriers. Pour se protéger, Kiev demande à ses alliés occidentaux de lui fournir davantage de systèmes de défense antiaérienne.
Selon les Occidentaux, la Corée du Nord fournit de l'armement à la Russie pour son offensive contre l'Ukraine et bénéficie en retour d'une assistance, notamment dans le domaine spatial.
Le week-end dernier, lors d'une attaque russe contre la capitale ukrainienne, un homme de 35 ans et son fils de 4 ans avaient été tués par la chute de débris de missile, et trois personnes avaient été grièvement blessées, selon les services de secours.
De l'autre côté de la ligne de front, la défense aérienne russe a détruit dans la nuit de samedi à dimanche un total de cinq drones de combat ukrainiens dans les régions de Belgorod et Rostov, frontalières de l'Ukraine, a rapporté le ministère russe de la Défense.
Samedi, le chef de l'État ukrainien, Volodymyr Zelensky, a affirmé que son armée «renforçait» ses positions dans la région russe de Koursk, plus de dix jours après le lancement d'une offensive d'ampleur sur le territoire russe, où Kiev affirme s'être emparé de 82 localités et 1.150 kilomètres carrés de territoire.
Avec AFP
«Tôt ce matin, vers 05H00 (02H00 GMT, ndlr), l'ennemi a employé des armes balistiques pour lancer une attaque de missiles sur Kiev», ont rapporté les autorités sur le réseau social Telegram.
Selon la même source, il est «très probable» qu'il s'agisse de «missiles balistiques nord-coréens de type KN-23».
D'après les informations préliminaires, les engins ont été interceptés à l'approche de la capitale ukrainienne et n'ont donc pas atteint leur cible, indique l'administration.
Par ailleurs, des drones d'attaque russes ont ciblé «presque simultanément» la ville, mais ont tous été «détruits» en dehors du périmètre de Kiev par la défense aérienne, affirment les autorités.
«Aucune destruction n'a été constatée à Kiev, et aucune information concernant des victimes n'a été reçue», ajoute la même source.
L'Ukraine est régulièrement frappée par des missiles et des drones meurtriers. Pour se protéger, Kiev demande à ses alliés occidentaux de lui fournir davantage de systèmes de défense antiaérienne.
Selon les Occidentaux, la Corée du Nord fournit de l'armement à la Russie pour son offensive contre l'Ukraine et bénéficie en retour d'une assistance, notamment dans le domaine spatial.
Le week-end dernier, lors d'une attaque russe contre la capitale ukrainienne, un homme de 35 ans et son fils de 4 ans avaient été tués par la chute de débris de missile, et trois personnes avaient été grièvement blessées, selon les services de secours.
De l'autre côté de la ligne de front, la défense aérienne russe a détruit dans la nuit de samedi à dimanche un total de cinq drones de combat ukrainiens dans les régions de Belgorod et Rostov, frontalières de l'Ukraine, a rapporté le ministère russe de la Défense.
Samedi, le chef de l'État ukrainien, Volodymyr Zelensky, a affirmé que son armée «renforçait» ses positions dans la région russe de Koursk, plus de dix jours après le lancement d'une offensive d'ampleur sur le territoire russe, où Kiev affirme s'être emparé de 82 localités et 1.150 kilomètres carrés de territoire.
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Avec AFP
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