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La Turquie a soumis une demande d'adhésion au bloc des pays émergents BRIC S (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), a indiqué mardi le porte-parole du parti au pouvoir.
«Notre président a plusieurs fois affirmé que nous voulions devenir membre des BRIC S. (...) Le processus est en cours», a affirmé Ömer Çelik, le porte-parole du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) du président Recep Tayyip Erdogan.
«S'il y a un développement concret concernant notre adhésion aux BRIC S, une décision ou évaluation des BRIC S, nous le partagerons avec vous», a affirmé M. Çelik lors d'une conférence de presse.
«Notre président a clairement affirmé que la Turquie veut prendre part à toutes les plateformes importantes, dont les BRIC S», a ajouté M. Çelik.
Composé de quatre membres à sa création (Brésil, Chine, Inde et Russie) en 2009, le bloc a été rejoint par l'Afrique du Sud en 2010 et s'est élargi, depuis, à plusieurs autres pays, dont l'Égypte et l'Iran.
«Nous ne considérons pas les BRIC S comme une alternative à toute autre structure», a affirmé en juillet le président Erdogan, dont le pays est toujours officiellement candidat à l'adhésion à l'Union européenne.
Avec AFP
«Notre président a plusieurs fois affirmé que nous voulions devenir membre des BRIC S. (...) Le processus est en cours», a affirmé Ömer Çelik, le porte-parole du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) du président Recep Tayyip Erdogan.
«S'il y a un développement concret concernant notre adhésion aux BRIC S, une décision ou évaluation des BRIC S, nous le partagerons avec vous», a affirmé M. Çelik lors d'une conférence de presse.
«Notre président a clairement affirmé que la Turquie veut prendre part à toutes les plateformes importantes, dont les BRIC S», a ajouté M. Çelik.
Composé de quatre membres à sa création (Brésil, Chine, Inde et Russie) en 2009, le bloc a été rejoint par l'Afrique du Sud en 2010 et s'est élargi, depuis, à plusieurs autres pays, dont l'Égypte et l'Iran.
«Nous ne considérons pas les BRIC S comme une alternative à toute autre structure», a affirmé en juillet le président Erdogan, dont le pays est toujours officiellement candidat à l'adhésion à l'Union européenne.
Avec AFP
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