Plus de 24 millions d'Algériens sont appelés aux urnes samedi pour une présidentielle où Abdelmadjid Tebboune, 78 ans, devrait être réélu pour un second mandat.
Le principal enjeu est le taux de participation, après une élection de 2019 marquée par une abstention record de 60%.
Les bureaux de vote seront ouverts de 07h à 18h GMT, avec des résultats attendus samedi soir ou dimanche.
Tebboune affronte deux candidats peu connus : Abdelaali Hassani, chef du Mouvement de la société pour la paix (MSP), et Youcef Aouchiche, à la tête du Front des forces socialistes (FFS).
« Le vainqueur est connu d'avance », a déclaré le commentateur politique Mohamed Hennad sur Facebook, en faisant référence à M. Tebboune.
Soutenu par quatre grandes formations politiques, dont le FLN et El Bina, Tebboune mène une campagne axée sur des promesses socio-économiques : hausse des salaires, 2 millions de logements et 450.000 nouveaux emplois, avec l’objectif de faire de l'Algérie la deuxième économie d'Afrique.
Cependant, la campagne a suscité peu d'enthousiasme et l'abstention reste une crainte. L'opposition critique un déficit de démocratie et un manque de libertés, accentués depuis la répression du Hirak.
Amnesty International et le Comité national pour la libération des détenus dénoncent une répression continue contre les défenseurs des libertés et les opinions dissidentes.
Le principal enjeu est le taux de participation, après une élection de 2019 marquée par une abstention record de 60%.
Les bureaux de vote seront ouverts de 07h à 18h GMT, avec des résultats attendus samedi soir ou dimanche.
Tebboune affronte deux candidats peu connus : Abdelaali Hassani, chef du Mouvement de la société pour la paix (MSP), et Youcef Aouchiche, à la tête du Front des forces socialistes (FFS).
« Le vainqueur est connu d'avance », a déclaré le commentateur politique Mohamed Hennad sur Facebook, en faisant référence à M. Tebboune.
Soutenu par quatre grandes formations politiques, dont le FLN et El Bina, Tebboune mène une campagne axée sur des promesses socio-économiques : hausse des salaires, 2 millions de logements et 450.000 nouveaux emplois, avec l’objectif de faire de l'Algérie la deuxième économie d'Afrique.
Cependant, la campagne a suscité peu d'enthousiasme et l'abstention reste une crainte. L'opposition critique un déficit de démocratie et un manque de libertés, accentués depuis la répression du Hirak.
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