La mission permanente du Liban auprès des Nations unies à New York, a adressé une lettre au président du Conseil de sécurité, Boštjan Malovrh, et au secrétaire général des Nations unies, António Guterres, au sujet de l’application de la résolution onusienne 1701 au Liban-Sud.
Cette initiative intervient en réaction à un document soumis le 1er septembre 2024 au Conseil de sécurité par le représentant israélien. Dans ce document, Tel Aviv reproche notamment au Liban de ne pas désarmer le Hezbollah et de ne pas contrôler sa frontière sud, arguant que les attaques transfrontalières du Hezbollah compromettent la sécurité des civils israéliens et libanais. La lettre demande que le Liban rende des comptes au niveau international sur ce qu'Israël considère comme des violations de la résolution.
La réponse libanaise à l'ONU a été présentée sur instruction du ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, à la suite de consultations avec le Premier ministre sortant, Najib Mikati.
M. Bou Habib souligne que «la voie vers une solution permanente passe par la mise en œuvre complète et intégrale de la résolution 1701 du Conseil de sécurité, dans toutes ses clauses et dispositions, et non pas de manière sélective, comme l'autre partie (Israël) tente de le faire».
«La mise en œuvre complète de la résolution 1701 signifie le retrait d'Israël de tous les territoires libanais occupés, la cessation de son agression contre la souveraineté du Liban […], ainsi que son engagement dans le processus d’identification des frontières terrestres internationalement reconnues au Liban-Sud, conformément à l'accord d'armistice de 1949, sous la supervision et les auspices des Nations unies», peut-on lire dans le communiqué.
Le Liban appelle également les États membres du Conseil de sécurité et la communauté internationale à faire pression sur Israël pour appliquer la résolution 1701 dans toutes ses dispositions.
Les autorités libanaises renouvellent en outre leur engagement total en faveur des résolutions internationales, soulignant «le rôle essentiel et efficace de la Finul, conformément au mandat qui lui a été confié pour aider l'État libanais à étendre son autorité sur l'ensemble de son territoire en renforçant les forces armées libanaises», selon le texte.
Cette initiative intervient en réaction à un document soumis le 1er septembre 2024 au Conseil de sécurité par le représentant israélien. Dans ce document, Tel Aviv reproche notamment au Liban de ne pas désarmer le Hezbollah et de ne pas contrôler sa frontière sud, arguant que les attaques transfrontalières du Hezbollah compromettent la sécurité des civils israéliens et libanais. La lettre demande que le Liban rende des comptes au niveau international sur ce qu'Israël considère comme des violations de la résolution.
La réponse libanaise à l'ONU a été présentée sur instruction du ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, à la suite de consultations avec le Premier ministre sortant, Najib Mikati.
M. Bou Habib souligne que «la voie vers une solution permanente passe par la mise en œuvre complète et intégrale de la résolution 1701 du Conseil de sécurité, dans toutes ses clauses et dispositions, et non pas de manière sélective, comme l'autre partie (Israël) tente de le faire».
«La mise en œuvre complète de la résolution 1701 signifie le retrait d'Israël de tous les territoires libanais occupés, la cessation de son agression contre la souveraineté du Liban […], ainsi que son engagement dans le processus d’identification des frontières terrestres internationalement reconnues au Liban-Sud, conformément à l'accord d'armistice de 1949, sous la supervision et les auspices des Nations unies», peut-on lire dans le communiqué.
Le Liban appelle également les États membres du Conseil de sécurité et la communauté internationale à faire pression sur Israël pour appliquer la résolution 1701 dans toutes ses dispositions.
Les autorités libanaises renouvellent en outre leur engagement total en faveur des résolutions internationales, soulignant «le rôle essentiel et efficace de la Finul, conformément au mandat qui lui a été confié pour aider l'État libanais à étendre son autorité sur l'ensemble de son territoire en renforçant les forces armées libanaises», selon le texte.
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