©(Thomas SAMSON/AFP)
Michel Barnier – l'ex-négociateur en chef de l'Union européenne pour le Brexit, qui a été nommé Premier ministre le 5 septembre – a promis mercredi de nommer un gouvernement français «la semaine prochaine».
«On fera les choses méthodiquement, sérieusement», a déclaré M. Barnier, 73 ans, nommé par le président Emmanuel Macron après des élections législatives qui n'ont pas permis de dégager une majorité à l'Assemblée nationale (chambre basse du parlement).
«J'ai rencontré la plupart des présidents de groupe, je continue et je viens visiter les députés, les sénateurs, les écouter aussi», a précisé devant la presse cette figure de la droite traditionnelle française.
«La semaine prochaine, on nommera le gouvernement», a ajouté le nouveau Premier ministre, chargé de constituer une délicate coalition entre personnalités de gauche, du centre et de la droite dans son équipe gouvernementale.
La présidence française a assuré que le choix de Michel Barnier avait été dicté par sa capacité à «rassembler le plus largement» dans un paysage politique morcelé.
Quelques jours après sa nomination, Barnier a dû faire face à des manifestations à l'appel de La France insoumise (gauche radicale), notamment à Paris.
Il a assuré à sa sortie d'un déjeuner avec les parlementaires du parti Horizons d'Edouard Philippe, qu'il y aurait «bien sûr» des membres de ce mouvement dans son gouvernement.
«On fera les choses méthodiquement, sérieusement», a déclaré M. Barnier, 73 ans, nommé par le président Emmanuel Macron après des élections législatives qui n'ont pas permis de dégager une majorité à l'Assemblée nationale (chambre basse du parlement).
«J'ai rencontré la plupart des présidents de groupe, je continue et je viens visiter les députés, les sénateurs, les écouter aussi», a précisé devant la presse cette figure de la droite traditionnelle française.
«La semaine prochaine, on nommera le gouvernement», a ajouté le nouveau Premier ministre, chargé de constituer une délicate coalition entre personnalités de gauche, du centre et de la droite dans son équipe gouvernementale.
La présidence française a assuré que le choix de Michel Barnier avait été dicté par sa capacité à «rassembler le plus largement» dans un paysage politique morcelé.
Quelques jours après sa nomination, Barnier a dû faire face à des manifestations à l'appel de La France insoumise (gauche radicale), notamment à Paris.
Il a assuré à sa sortie d'un déjeuner avec les parlementaires du parti Horizons d'Edouard Philippe, qu'il y aurait «bien sûr» des membres de ce mouvement dans son gouvernement.
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