En tournée au Liban depuis mercredi, le haut représentant de l’Union européenne (UE) pour les affaires étrangères, Josep Borrell, a souligné la nécessité d’une mise en œuvre complète de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, qui «devrait ouvrir la voie à un règlement global du conflit dans la région».
La visite de M. Borrell s’inscrit dans le cadre de la mission de l’UE visant à empêcher toute escalade dans la région. Après avoir entrepris une série de rencontres à Beyrouth, avec le Premier ministre sortant, Najib Mikati, le président de la Chambre, Nabih Berry, le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib et le commandant en chef de l'armée, Joseph Aoun, M. Borrell a réitéré, lors d'une conférence de presse, l'engagement de l'UE à soutenir le Liban dans la mesure où la guerre à Gaza est une «terrible tragédie qui menace la sécurité et la stabilité tant au Liban que dans la région», exhortant les dirigeants libanais «à œuvrer pour le bien de la nation». Il a, dans ce sens, insisté sur l’importance des «réformes économiques, de la restructuration du secteur bancaire» et sur la nécessité pour «les institutions étatiques de reprendre le travail, notamment au niveau de la présidence de la République et du Conseil des ministres».
De son côté, M. Berry a indiqué que «le Liban ne veut pas la guerre, mais qu’il a le droit et est capable de se défendre». Se prononçant sur la situation politique intérieure, le chef du législatif a estimé que «le gouvernement travaille conformément aux pouvoirs qui lui sont attribués constitutionnellement, notamment dans une période de vacance présidentielle persistante». Et d’ajouter: «Nous travaillons avec le plus grand sérieux pour permettre aux élections présidentielles d’avoir lieu», rappelant l’initiative que son camp propose depuis plus d’un an. Rappelons que M. Berry conditionne la convocation d’une réunion parlementaire pour l’élection d’un président à la tenue préalable d’un dialogue qu’il présiderait, ce à quoi s’opposent fermement les forces de l’opposition, qui considèrent une telle démarche contraire à la Constitution.
Dans le cadre de la conférence de presse tenue à l’issue de sa rencontre avec M. Borrell, le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, a, pour sa part, réitéré l’engagement du Liban pour la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies.
La visite de M. Borrell s’inscrit dans le cadre de la mission de l’UE visant à empêcher toute escalade dans la région. Après avoir entrepris une série de rencontres à Beyrouth, avec le Premier ministre sortant, Najib Mikati, le président de la Chambre, Nabih Berry, le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib et le commandant en chef de l'armée, Joseph Aoun, M. Borrell a réitéré, lors d'une conférence de presse, l'engagement de l'UE à soutenir le Liban dans la mesure où la guerre à Gaza est une «terrible tragédie qui menace la sécurité et la stabilité tant au Liban que dans la région», exhortant les dirigeants libanais «à œuvrer pour le bien de la nation». Il a, dans ce sens, insisté sur l’importance des «réformes économiques, de la restructuration du secteur bancaire» et sur la nécessité pour «les institutions étatiques de reprendre le travail, notamment au niveau de la présidence de la République et du Conseil des ministres».
De son côté, M. Berry a indiqué que «le Liban ne veut pas la guerre, mais qu’il a le droit et est capable de se défendre». Se prononçant sur la situation politique intérieure, le chef du législatif a estimé que «le gouvernement travaille conformément aux pouvoirs qui lui sont attribués constitutionnellement, notamment dans une période de vacance présidentielle persistante». Et d’ajouter: «Nous travaillons avec le plus grand sérieux pour permettre aux élections présidentielles d’avoir lieu», rappelant l’initiative que son camp propose depuis plus d’un an. Rappelons que M. Berry conditionne la convocation d’une réunion parlementaire pour l’élection d’un président à la tenue préalable d’un dialogue qu’il présiderait, ce à quoi s’opposent fermement les forces de l’opposition, qui considèrent une telle démarche contraire à la Constitution.
Dans le cadre de la conférence de presse tenue à l’issue de sa rencontre avec M. Borrell, le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, a, pour sa part, réitéré l’engagement du Liban pour la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies.
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