©Photo Patrick Baz/AFP
Les Brigades du Hezbollah, groupe armé irakien (pro-iranien), ont annoncé vendredi la mort d'un de leurs membres dans une «frappe israélienne» près de l'aéroport de Damas en Syrie.
Un «raid israélien» a visé «un des locaux de l'organisation à Damas, ce qui a entraîné la mort d'Abou Haidar al-Khafaji, un membre actif de la résistance», a indiqué à l'AFP un responsable du groupe s'exprimant sous couvert de l'anonymat en raison de la sensibilité du dossier.
Il a précisé qu'un autre membre de l'organisation avait été blessé.
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), qui dispose d'un vaste réseau de sources à travers la Syrie, n'était pas en mesure de confirmer le bombardement.
Il a fait état d'un «cadre» tué, sans être en mesure de l'identifier.
Selon l'ONG, «la voiture d'un dirigeant» des Brigades du Hezbollah a été retrouvée calcinée à l'aube près d'une position du groupe irakien, à environ dix kilomètres de l'aéroport international de Damas.
La position visée se trouve à cinq kilomètres du sanctuaire chiite de Sayeda Zeinab dans la banlieue de Damas, selon le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane.
Les États-Unis ont également visé ces groupes dans l'est de la Syrie.
L'attaque de vendredi intervient dans un contexte régional tendu, après plus de onze mois de guerre à Gaza.
Alimentées par ces tensions, des dizaines d'attaques revendiquées par des groupes armés pro-iraniens avaient visé l'hiver dernier, en Irak et en Syrie, une coalition internationale antijihadiste emmenée par Washington.
Les Brigades du Hezbollah, classées groupe «terroriste» par les États-Unis, avaient annoncé fin janvier une «suspension» de leurs attaques. Depuis, une certaine accalmie s'est progressivement installée.
Avec AFP
Un «raid israélien» a visé «un des locaux de l'organisation à Damas, ce qui a entraîné la mort d'Abou Haidar al-Khafaji, un membre actif de la résistance», a indiqué à l'AFP un responsable du groupe s'exprimant sous couvert de l'anonymat en raison de la sensibilité du dossier.
Il a précisé qu'un autre membre de l'organisation avait été blessé.
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), qui dispose d'un vaste réseau de sources à travers la Syrie, n'était pas en mesure de confirmer le bombardement.
Il a fait état d'un «cadre» tué, sans être en mesure de l'identifier.
Selon l'ONG, «la voiture d'un dirigeant» des Brigades du Hezbollah a été retrouvée calcinée à l'aube près d'une position du groupe irakien, à environ dix kilomètres de l'aéroport international de Damas.
La position visée se trouve à cinq kilomètres du sanctuaire chiite de Sayeda Zeinab dans la banlieue de Damas, selon le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane.
Les États-Unis ont également visé ces groupes dans l'est de la Syrie.
L'attaque de vendredi intervient dans un contexte régional tendu, après plus de onze mois de guerre à Gaza.
Alimentées par ces tensions, des dizaines d'attaques revendiquées par des groupes armés pro-iraniens avaient visé l'hiver dernier, en Irak et en Syrie, une coalition internationale antijihadiste emmenée par Washington.
Les Brigades du Hezbollah, classées groupe «terroriste» par les États-Unis, avaient annoncé fin janvier une «suspension» de leurs attaques. Depuis, une certaine accalmie s'est progressivement installée.
Avec AFP
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