L'armée israélienne a confirmé la mort d'Ibrahim Mohammad Kobeissy, responsable de l'unité des missiles du Hezbollah, dans le raid mené à 15h, mardi, sur Ghobeiry, dans la banlieue sud de Beyrouth, où six personnes ont été tuées et quinze autres ont été blessées, dont deux grièvement, selon un premier bilan du ministère libanais de la Santé.
Il n'était toujours pas clair, une heure après la frappe, qui était "le haut cadre du Hezbollah" ciblé dans l'immeuble dont les deux derniers étages s'étaient effondrés, alors que la radio de l'armée israélienne, citée par des médias pan-arabes, indiquait qu'il n'était pas certain que celle-ci a atteint ses objectifs.
Elle avait annoncé que la cible est un "haut cadre du Hezbollah, responsable de l'"unité des missiles", sans avancer de nom. Ce n'est que deux heures et demie plus tard, qu'elle a confirmé la mort de Kobeyssi.
Auparavant, al-Hadath qui cite "des rapports israéliens", avait indiqué que la cible serait Talal Hamiyé, un des chefs de la force al-Radwane, nommé après l'assassinat d'Ibrahim Akil, tué vendredi dans un raid israélien sur la banlieue sud de Beyrouth, ce que la radio de l'armée israélienne a démenti.
Comme toujours, le Hezbollah n'a ni confirmé ni infirmé ces informations.
Le raid avait été immédiatement confirmé par l’armée israélienne qui a fait état d’une «frappe ciblée» et précisé que des détails supplémentaires seront fournis plus tard.
Il n'était toujours pas clair, une heure après la frappe, qui était "le haut cadre du Hezbollah" ciblé dans l'immeuble dont les deux derniers étages s'étaient effondrés, alors que la radio de l'armée israélienne, citée par des médias pan-arabes, indiquait qu'il n'était pas certain que celle-ci a atteint ses objectifs.
Elle avait annoncé que la cible est un "haut cadre du Hezbollah, responsable de l'"unité des missiles", sans avancer de nom. Ce n'est que deux heures et demie plus tard, qu'elle a confirmé la mort de Kobeyssi.
Auparavant, al-Hadath qui cite "des rapports israéliens", avait indiqué que la cible serait Talal Hamiyé, un des chefs de la force al-Radwane, nommé après l'assassinat d'Ibrahim Akil, tué vendredi dans un raid israélien sur la banlieue sud de Beyrouth, ce que la radio de l'armée israélienne a démenti.
Comme toujours, le Hezbollah n'a ni confirmé ni infirmé ces informations.
Le raid avait été immédiatement confirmé par l’armée israélienne qui a fait état d’une «frappe ciblée» et précisé que des détails supplémentaires seront fournis plus tard.
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