Le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a remis en question l'absence de convocation d'une séance extraordinaire par le président du Parlement, Nabih Berry, pour discuter de la crise que traverse le peuple libanais. Il a rappelé que «dix députés avaient soumis, le 22 juillet 2024, une demande écrite pour une séance sur les mesures gouvernementales nécessaires pour éviter une guerre au Liban». Dans un communiqué publié vendredi, M. Geagea a également exprimé son étonnement face à l'absence de séance pour l'élection d'un nouveau président de la République. «Est-il acceptable de paralyser ainsi les institutions de l'État, une paralysie qui profite aux ennemis du Liban, notamment Israël?»
Il a par ailleurs dénoncé la situation actuelle des Libanais, qui «souffrent d'une dégradation économique et sociale, tout en étant confrontés à une menace de guerre, alors que nous avons maintes fois tiré la sonnette d'alarme».
Il a par ailleurs dénoncé la situation actuelle des Libanais, qui «souffrent d'une dégradation économique et sociale, tout en étant confrontés à une menace de guerre, alors que nous avons maintes fois tiré la sonnette d'alarme».
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