L'armée israélienne a annoncé mardi en début de soir avoir tué deux cadres du Hezbollah, Mohammad Cassir, chargé du "transfert de troupes" entre le Liban et la Syrie, et Zoulfikar Hannaoui, chef du "bataillon Imam Hussein", au cours de ses frappes sur la périphérie sud de Beyrouth.
Trois personnes ont été tuées dans les deux raids menés, mardi en fin d'après-midi, contre ce secteur, selon un bilan officiel.
La première a touché un bâtiment situé près de l'hôpital Al-Zahraa, entre Jnah et Ouzaï. L'armée israélienne a confirmé avoir mené une «frappe ciblée à Beyrouth». Selon les premières informations relayées par la chaîne Al-Jadeed, un bureau de change aurait été visé.
C'est un quotidien israélien, le Yediot Aharonot, qui a rapporté que le raid visait l'élimination de deux hauts responsables du Hezbollah: un cheikh nommé Salah, chargé du «transfert de troupes» entre le Liban et la Syrie, et un dénommé Zoulfikar, présenté comme «commandant du bataillon Imam Hussein». L'armée israélienne n'avait cependant pas donné de détails immédiats concernant la cible.
La seconde frappe a eu lieu près du rond-point de l'ambassade du Koweït, plus en périphérie de Beyrouth, sur la route de l'aéroport, provoquant la fermeture de cette dernière. La circulation a été détournée vers Ouzaï.
Le ministre sortant des Travaux publics, Ali Hamiyé, a annoncé l'envoi d'équipes dès mercredi pour rétablir la voie.
Trois personnes ont été tuées dans les deux raids menés, mardi en fin d'après-midi, contre ce secteur, selon un bilan officiel.
La première a touché un bâtiment situé près de l'hôpital Al-Zahraa, entre Jnah et Ouzaï. L'armée israélienne a confirmé avoir mené une «frappe ciblée à Beyrouth». Selon les premières informations relayées par la chaîne Al-Jadeed, un bureau de change aurait été visé.
C'est un quotidien israélien, le Yediot Aharonot, qui a rapporté que le raid visait l'élimination de deux hauts responsables du Hezbollah: un cheikh nommé Salah, chargé du «transfert de troupes» entre le Liban et la Syrie, et un dénommé Zoulfikar, présenté comme «commandant du bataillon Imam Hussein». L'armée israélienne n'avait cependant pas donné de détails immédiats concernant la cible.
La seconde frappe a eu lieu près du rond-point de l'ambassade du Koweït, plus en périphérie de Beyrouth, sur la route de l'aéroport, provoquant la fermeture de cette dernière. La circulation a été détournée vers Ouzaï.
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