- 21
- Nov.
- 2021
D’autres temps, d’autres lieux. Quand le général De Gaulle exhortait depuis Londres, à la radio, les Français à la résistance contre la collaboration avec la barbarie nazie, il utilisait alors le média le plus puissant de son époque. Le nom de notre média est un rappel que rien n’est jamais acquis sans conviction.
Aujourd’hui, internet a supplanté tous les autres supports d’information. Aucun événement ne peut plus désormais être caché aux 8 milliards d’humains. C’est donc sur le numérique que nous avons choisi de vous parler. Aux francophones du Liban, aux Libanais de la diaspora et à tous ceux qui pratiquent le français, qui est bien plus qu’une langue, un état d’esprit et aussi la langue de la contestation depuis des siècles.
Ici Beyrouth est votre média, celui d’une information juste et certifiée dans le flux des fake news qui inondent nos appareils connectés.
Notre objectif est votre confiance. Nous ne sommes ni les ennemis, ni les partisans de personne. Nous ne sommes soumis qu’au devoir d’honnêteté. Libres de toute aliénation politique et ne figurant sur l’agenda d’aucune puissance.
Libres est notre devise. Libres de penser, de critiquer, de réfléchir, de contester, de rire, d’aimer… Libres de lutter contre l’ignorance, le sectarisme et les fanatismes.
Libres de défendre les droits humains. Ceux de toutes les femmes, des enfants et des hommes qui vivent au Liban et ailleurs.
Notre média a l’ambition d’accueillir les débats d’idées et les opinions contradictoires.
Ici Beyrouth et ses journalistes rêvent d’un temps où la capitale du Liban redeviendra le phare des Proche et Moyen Orient. Une ville, belle, vivante, rebelle et foisonnante qui irrigue son environnement de pensées libres.
Les dynasties de corrompus et de corrupteurs avides de pouvoir et d’argent, affameurs et criminels de guerre et de paix, tous ces gens passeront. Le Liban est éternel. Il en a vu d’autres, de bien pires.
Ses fils reviendront et construiront, sur les ruines des bilans que les bourreaux d’aujourd’hui laissent. Des bourreaux qui n’iront même pas dans les pages de l’Histoire.
Alors, nous comptons sur vous, pour nous aider, nous critiquer, nous rendre tous les jours plus forts. Ensemble, un jour viendra…
Aujourd’hui, internet a supplanté tous les autres supports d’information. Aucun événement ne peut plus désormais être caché aux 8 milliards d’humains. C’est donc sur le numérique que nous avons choisi de vous parler. Aux francophones du Liban, aux Libanais de la diaspora et à tous ceux qui pratiquent le français, qui est bien plus qu’une langue, un état d’esprit et aussi la langue de la contestation depuis des siècles.
Ici Beyrouth est votre média, celui d’une information juste et certifiée dans le flux des fake news qui inondent nos appareils connectés.
Notre objectif est votre confiance. Nous ne sommes ni les ennemis, ni les partisans de personne. Nous ne sommes soumis qu’au devoir d’honnêteté. Libres de toute aliénation politique et ne figurant sur l’agenda d’aucune puissance.
Libres est notre devise. Libres de penser, de critiquer, de réfléchir, de contester, de rire, d’aimer… Libres de lutter contre l’ignorance, le sectarisme et les fanatismes.
Libres de défendre les droits humains. Ceux de toutes les femmes, des enfants et des hommes qui vivent au Liban et ailleurs.
Notre média a l’ambition d’accueillir les débats d’idées et les opinions contradictoires.
Ici Beyrouth et ses journalistes rêvent d’un temps où la capitale du Liban redeviendra le phare des Proche et Moyen Orient. Une ville, belle, vivante, rebelle et foisonnante qui irrigue son environnement de pensées libres.
Les dynasties de corrompus et de corrupteurs avides de pouvoir et d’argent, affameurs et criminels de guerre et de paix, tous ces gens passeront. Le Liban est éternel. Il en a vu d’autres, de bien pires.
Ses fils reviendront et construiront, sur les ruines des bilans que les bourreaux d’aujourd’hui laissent. Des bourreaux qui n’iront même pas dans les pages de l’Histoire.
Alors, nous comptons sur vous, pour nous aider, nous critiquer, nous rendre tous les jours plus forts. Ensemble, un jour viendra…
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