Le ministre des Télécommunications Johnny Corm a révélé que l'augmentation du tarif des télécommunications sera mise en vigueur au premier juin prochain, et que les tarifs d’Ogero seront revus à la hausse d’environ deux fois et demie.
Pour le ministre, «si la facture est de 100 dollars, elle sera divisée par 4, puis payée suivant le taux de change de la plateforme Sayrafa. Elle se montera donc au final à 500.000 livres libanaises».
Interrogé par Ici Beyrouth, Johnny Corm précise que les nouveaux tarifs sont encore à l'état de projet, lequel devra être confirmé par le Conseil des ministres. «Ce projet englobera les téléphones mobiles et fixes, ainsi que l'accès à Internet via Ogero », explique-t-il.
A la question de savoir si le document sera approuvé par le cabinet, le ministre répond par l’affirmative: «Il doit passer, c’est obligatoire». Et de poursuivre: «S’il y a quelque chose que les Libanais ne savent pas à vrai dire, c’est que les opérateurs Alpha et Touch sont des sociétés anonymes libanaises (SAL) ce qui veut dire qu’elles n’ont pas la possibilité d’emprunter de l’argent auprès du gouvernement comme Ogero peut le faire. Donc, si nous n’avons pas assez d’argent, il existe un sérieux risque de fermeture. La situation est délicate».
Pour le ministre, «si la facture est de 100 dollars, elle sera divisée par 4, puis payée suivant le taux de change de la plateforme Sayrafa. Elle se montera donc au final à 500.000 livres libanaises».
Interrogé par Ici Beyrouth, Johnny Corm précise que les nouveaux tarifs sont encore à l'état de projet, lequel devra être confirmé par le Conseil des ministres. «Ce projet englobera les téléphones mobiles et fixes, ainsi que l'accès à Internet via Ogero », explique-t-il.
A la question de savoir si le document sera approuvé par le cabinet, le ministre répond par l’affirmative: «Il doit passer, c’est obligatoire». Et de poursuivre: «S’il y a quelque chose que les Libanais ne savent pas à vrai dire, c’est que les opérateurs Alpha et Touch sont des sociétés anonymes libanaises (SAL) ce qui veut dire qu’elles n’ont pas la possibilité d’emprunter de l’argent auprès du gouvernement comme Ogero peut le faire. Donc, si nous n’avons pas assez d’argent, il existe un sérieux risque de fermeture. La situation est délicate».
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