©La star des Los Angeles Lakers LeBron James dépité en fin du match perdu face aux Pelicans de la Nouvelle Orléans, vendredi à Los Angeles. Kevork Djansezian/AFP
Memphis, 2e à l'Ouest, s'est offert une victoire héroïque face au leader Phoenix, dans l'affiche de vendredi en NBA, peut-être annonciatrice de retrouvailles en finale de conférence, lors de play-offs NBA dont s'éloignent un peu plus les Lakers, encore battus par La Nouvelle-Orléans.
Au réveil, LeBron James se voulait taquin en faisant croire sur Twitter, poisson d'avril oblige, qu'il mettait un terme à sa saison. Quelques heures plus tard, fini de rire: L.A. s'est incliné (114-111) dans un match qu'il valait mieux ne pas perdre à domicile et sa blague pourrait bien devenir réalité d'ici le 10 avril, date de la fin de la phase régulière.
Car les Californiens, battus pour la 5e fois d'affilée, s'enfoncent à la 11e place, avec désormais une victoire de retard sur San Antonio (10e), qui n'a pas manqué l'occasion de battre (130-111) Portland pour conforter sa position de barragiste, et trois sur les Pelicans (9e).
Le retour d'Anthony Davis (23 pts, 12 rbds) après un mois et demi d'absence a été satisfaisant mais n'a pas suffi. Pas plus que les 38 points de James, qui a porté l'équipe durant trois quart-temps, avant de disparaître dans le dernier (2 pts). Fatigué, il perdu un ballon crucial dans les dernières secondes et a raté le shoot qu'il espérait égalisateur.
Les Lakers ont encore cinq matches pour sauver leur saison, mais ils seront très corsés (Nuggets deux fois, Suns, Warriors, Thunder).
Sans la star Ja Morant, ni les cadres Desmond Bane, Jaren Jackson et Steven Adams, les Grizzlies, qu'il va bien falloir prendre très au sérieux en play-offs, n'ont montré aucun signe de faiblesse face à des Suns pourtant armés avec Devin Booker, auteur de 41 points qui n'ont donc pas suffi (122-114).
"Des gars qui ne sont pas titulaires, se sont distingués et ont su saisir l'occasion. Quel sacré match contre l'une des meilleures équipes de la ligue", s'est réjoui l'entraîneur Taylor Jenkins.
Clippers record
Dans le sillage de Dillon Brooks (30 pts), ils ont été sept joueurs, d'une rotation limitée à neuf éléments, à finir entre 11 et 17 points.
Leur furia a fait la différence dans le money-time, moment habituellement favorable à Chris Paul, qui n'a cette fois pas pesé (8 pts 11 passes) pour des Suns concédant leur premier revers en dix matches.
Si les deux premières places ne changeront pas de propriétaire, la lutte pour la 3e devrait se poursuivre jusqu'au bout. Corrigé à Washington (135-103), malgré Luka Doncic (36 pts), Dallas laisse ainsi Golden State remonter sur le podium.
Déjà assurés de finir 8e et donc barragistes, les Clippers se sont eux offerts une victoire record aux dépens des Bucks champions en titre (153-119), car ils n'avaient jamais autant marqué de points dans un match de saison régulière.
En back-to-back, moins de 24 heures après avoir disputé chacun une prolongation - à Brooklyn avec la victoire au bout pour Milwaukee, à Chicago pour L.A. finalement défait -, les deux équipes avaient décidé de mettre au repos leurs meilleurs joueurs (Giannis Antetokounmpo, Khris Middleton, Jrue Holiday, Brook Lopez d'un côté, Paul George, Reggie Jackson, Nicolas Batum, Marcus Morris de l'autre).
Dans ce drôle de match "portes ouvertes", Robert Covington en a profité pour s'illustrer, en plantant 11 banderilles à longue distance, pour 43 points au total.
Nulle conséquence pour Milwaukee au classement, toujours 2e à l'Est, devant Boston qui a battu Indiana (128-123).
Au réveil, LeBron James se voulait taquin en faisant croire sur Twitter, poisson d'avril oblige, qu'il mettait un terme à sa saison. Quelques heures plus tard, fini de rire: L.A. s'est incliné (114-111) dans un match qu'il valait mieux ne pas perdre à domicile et sa blague pourrait bien devenir réalité d'ici le 10 avril, date de la fin de la phase régulière.
Car les Californiens, battus pour la 5e fois d'affilée, s'enfoncent à la 11e place, avec désormais une victoire de retard sur San Antonio (10e), qui n'a pas manqué l'occasion de battre (130-111) Portland pour conforter sa position de barragiste, et trois sur les Pelicans (9e).
Le retour d'Anthony Davis (23 pts, 12 rbds) après un mois et demi d'absence a été satisfaisant mais n'a pas suffi. Pas plus que les 38 points de James, qui a porté l'équipe durant trois quart-temps, avant de disparaître dans le dernier (2 pts). Fatigué, il perdu un ballon crucial dans les dernières secondes et a raté le shoot qu'il espérait égalisateur.
Les Lakers ont encore cinq matches pour sauver leur saison, mais ils seront très corsés (Nuggets deux fois, Suns, Warriors, Thunder).
Sans la star Ja Morant, ni les cadres Desmond Bane, Jaren Jackson et Steven Adams, les Grizzlies, qu'il va bien falloir prendre très au sérieux en play-offs, n'ont montré aucun signe de faiblesse face à des Suns pourtant armés avec Devin Booker, auteur de 41 points qui n'ont donc pas suffi (122-114).
"Des gars qui ne sont pas titulaires, se sont distingués et ont su saisir l'occasion. Quel sacré match contre l'une des meilleures équipes de la ligue", s'est réjoui l'entraîneur Taylor Jenkins.
Clippers record
Dans le sillage de Dillon Brooks (30 pts), ils ont été sept joueurs, d'une rotation limitée à neuf éléments, à finir entre 11 et 17 points.
Leur furia a fait la différence dans le money-time, moment habituellement favorable à Chris Paul, qui n'a cette fois pas pesé (8 pts 11 passes) pour des Suns concédant leur premier revers en dix matches.
Si les deux premières places ne changeront pas de propriétaire, la lutte pour la 3e devrait se poursuivre jusqu'au bout. Corrigé à Washington (135-103), malgré Luka Doncic (36 pts), Dallas laisse ainsi Golden State remonter sur le podium.
Déjà assurés de finir 8e et donc barragistes, les Clippers se sont eux offerts une victoire record aux dépens des Bucks champions en titre (153-119), car ils n'avaient jamais autant marqué de points dans un match de saison régulière.
En back-to-back, moins de 24 heures après avoir disputé chacun une prolongation - à Brooklyn avec la victoire au bout pour Milwaukee, à Chicago pour L.A. finalement défait -, les deux équipes avaient décidé de mettre au repos leurs meilleurs joueurs (Giannis Antetokounmpo, Khris Middleton, Jrue Holiday, Brook Lopez d'un côté, Paul George, Reggie Jackson, Nicolas Batum, Marcus Morris de l'autre).
Dans ce drôle de match "portes ouvertes", Robert Covington en a profité pour s'illustrer, en plantant 11 banderilles à longue distance, pour 43 points au total.
Nulle conséquence pour Milwaukee au classement, toujours 2e à l'Est, devant Boston qui a battu Indiana (128-123).
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