Dixième de Ligue 1, Lyon qui reçoit Angers dimanche (18h05, Beyrouth) veut toujours croire en ses chances de qualification européenne la saison prochaine, son président Jean-Michel Aulas rêvant même de Ligue des champions.
Le patron du club et son entraîneur Peter Bosz peinent cependant à rassurer sur la situation, en particulier les groupes de supporters ultras, qui ont décidé de manifester dimanche avec une grève des encouragements durant la première période.
"Leur inquiétude est légitime, mais nous avons encore l'ambition de nous approcher de nos objectifs de début de saison. Nous ne sommes pas toujours capable du meilleur, mais nous le sommes de temps en temps, et si l'on sait donner aux joueurs un certain nombre d'orientations, nous pouvons l'être de manière plus régulière", a affirmé Aulas jeudi.
Le dirigeant s'exprimait au cours d'une conférence de presse destinée à présenter l'attaquant brésilien Tetê, nouvelle recrue. À court de forme, il est prêté par le club ukrainien du Shaktior Donetsk et il aura peu de temps, d'ici la fin de saison, pour amener une plus-value déterminante.
Prémonition
Aulas a confié avoir eu "une vision" de victoire finale en Ligue Europa, qui permettrait de retrouver la Ligue des champions sans passer par le podium de la Ligue 1. L'OL affronte en quart de finale de la C3 les Anglais de West Ham (6e de Premier league) les 7 et 14 avril.
"Sur le plan de la dimension européenne et en particulier en Ligue Europa, il nous faut aller vers ce qui serait le Graal", a dit Aulas. "J'ai eu une vision, il y a quelque temps, comme en 1987 (quand il a pris la tête de l'OL, ndlr) avant de remonter en première division et plus tard en 2002, pour le premier titre de champion et quelques autres ensuite, cette année sera la bonne" pour gagner la compétition européenne.
"Nous avions besoin de deux choses. La première est le recrutement de Tetê et la deuxième est de créer un consensus autour de l'équipe, avec nos supporters, pour aller vers la performance, le succès et le beau jeu", a-t-il ajouté.
Mais pour y parvenir, Peter Bosz a du mal, de son côté, à préciser sa stratégie pour bien finir la saison. D'autant plus que l'équipe a perdu cette semaine l'un de ses meilleurs joueurs, l'infatigable milieu Maxence Caqueret, blessé à un genou et absent pour au moins un mois.
"Il faut gagner"
"C'est simple. Il faut gagner les matches et si possible réaliser une série. Je n'ai rien d'autre à dire. A nous, joueurs et encadrement, d'obtenir ces résultats et cela ne se passe que sur le terrain", a seulement dit à la presse le technicien néerlandais, épargné par le public malgré des résultats qui sont les plus décevants de l'OL depuis 1996 à cette époque de la saison.
"Comme les supporters, je ne suis pas content non plus de cette dixième place. Je les comprends mais il n'y aura que le classement final qui sera à prendre en compte", a insisté Bosz en regrettant le mouvement d'humeur des groupes d'ultras des virages nord et sud.
"Pour les joueurs et les résultats, ils sont importants et nous en avons besoin. Nous l'avons vu contre Porto. L'ambiance au stade était spéciale. Depuis mon arrivée, je n'ai pas ressenti cela très souvent, parfois en raison des restrictions dues au Covid. Le stade n'a pas toujours été plein", a-t-il conclu.
Il ne le sera pas dimanche mais l'OL enclenchera-t-il, enfin, une vraie série ? Il reste sept semaines pour sauver la saison.
Le patron du club et son entraîneur Peter Bosz peinent cependant à rassurer sur la situation, en particulier les groupes de supporters ultras, qui ont décidé de manifester dimanche avec une grève des encouragements durant la première période.
"Leur inquiétude est légitime, mais nous avons encore l'ambition de nous approcher de nos objectifs de début de saison. Nous ne sommes pas toujours capable du meilleur, mais nous le sommes de temps en temps, et si l'on sait donner aux joueurs un certain nombre d'orientations, nous pouvons l'être de manière plus régulière", a affirmé Aulas jeudi.
Le dirigeant s'exprimait au cours d'une conférence de presse destinée à présenter l'attaquant brésilien Tetê, nouvelle recrue. À court de forme, il est prêté par le club ukrainien du Shaktior Donetsk et il aura peu de temps, d'ici la fin de saison, pour amener une plus-value déterminante.
Prémonition
Aulas a confié avoir eu "une vision" de victoire finale en Ligue Europa, qui permettrait de retrouver la Ligue des champions sans passer par le podium de la Ligue 1. L'OL affronte en quart de finale de la C3 les Anglais de West Ham (6e de Premier league) les 7 et 14 avril.
"Sur le plan de la dimension européenne et en particulier en Ligue Europa, il nous faut aller vers ce qui serait le Graal", a dit Aulas. "J'ai eu une vision, il y a quelque temps, comme en 1987 (quand il a pris la tête de l'OL, ndlr) avant de remonter en première division et plus tard en 2002, pour le premier titre de champion et quelques autres ensuite, cette année sera la bonne" pour gagner la compétition européenne.
"Nous avions besoin de deux choses. La première est le recrutement de Tetê et la deuxième est de créer un consensus autour de l'équipe, avec nos supporters, pour aller vers la performance, le succès et le beau jeu", a-t-il ajouté.
Mais pour y parvenir, Peter Bosz a du mal, de son côté, à préciser sa stratégie pour bien finir la saison. D'autant plus que l'équipe a perdu cette semaine l'un de ses meilleurs joueurs, l'infatigable milieu Maxence Caqueret, blessé à un genou et absent pour au moins un mois.
"Il faut gagner"
"C'est simple. Il faut gagner les matches et si possible réaliser une série. Je n'ai rien d'autre à dire. A nous, joueurs et encadrement, d'obtenir ces résultats et cela ne se passe que sur le terrain", a seulement dit à la presse le technicien néerlandais, épargné par le public malgré des résultats qui sont les plus décevants de l'OL depuis 1996 à cette époque de la saison.
"Comme les supporters, je ne suis pas content non plus de cette dixième place. Je les comprends mais il n'y aura que le classement final qui sera à prendre en compte", a insisté Bosz en regrettant le mouvement d'humeur des groupes d'ultras des virages nord et sud.
"Pour les joueurs et les résultats, ils sont importants et nous en avons besoin. Nous l'avons vu contre Porto. L'ambiance au stade était spéciale. Depuis mon arrivée, je n'ai pas ressenti cela très souvent, parfois en raison des restrictions dues au Covid. Le stade n'a pas toujours été plein", a-t-il conclu.
Il ne le sera pas dimanche mais l'OL enclenchera-t-il, enfin, une vraie série ? Il reste sept semaines pour sauver la saison.
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